La coopération dans l’économie, le secteur énergétique et dans le domaine des transports, la formation d’un espace humanitaire commun focalisent l’attention des participants au sommet informel de la CEI à St Petersbourg. Dmitri Medvedev y participe pour la première fois en tant que président de Russie, indique notre observateur Constantine Garibov.
La Russie donne dans sa politique la priorité à la CEI et ses partenaires au sein de la Communauté construisent leurs rapports avec Moscou compte tenu de son rôle croissant dans l’espace postsoviétique et dans le monde. Le sommet informel à St Petersbourg le confirme. Le président de Russie a invité ses homologues à échanger d’opinions sur les volets clés de la coopération dès le premier mois de sa présidence. Ceci étant, les leaders de tous les pays de la CEI ont saisi l’occasion de s’entretenir dans une ambiance informelle avec Dmitri Medvedev.
La Russie et ses partenaires au sein de la CEI sont intéressés à raffermir la coopération économique et à exposer les produits conjoints aux marchés des pays tiers. Ils mettent en œuvre de grands projets internationaux dans l’énergie et dans le domaine des transports. Cela permet à la plupart des pays de la CEI de parler la même langue et d’élaborer une stratégie conjointe à long terme compte tenu des intérêts nationaux. Le sommet à St Petersbourg donnera une nouvelle impulsion à l’intégration reflétant la tendance mondiale à la globalisation de l’économie. Au micro le directeur de l’Institut des pays de la CEI Constantine Zatouline :
Il existe l’Organisation des Etats américains, l’Association des Etats d’Asie du Sud-Est, l’Organisation de coopération d’Asie-Pacifique. Les pays qui n’entretiennent pas toujours de bons rapports entre eux se mettent à la table de négociation pour examiner les problèmes régionaux communs. La CEI demeure l’association la plus représentative dans l’espace postsoviétique. Je comprends parfaitement dans cet ordre d’idée l’aspiration de la nouvelle administration russe et du nouveau président de Russie à consolider la Communauté et à élever son statut, a indiqué Constantine Zatouline.
La Russie donne dans sa politique la priorité à la CEI et ses partenaires au sein de la Communauté construisent leurs rapports avec Moscou compte tenu de son rôle croissant dans l’espace postsoviétique et dans le monde. Le sommet informel à St Petersbourg le confirme. Le président de Russie a invité ses homologues à échanger d’opinions sur les volets clés de la coopération dès le premier mois de sa présidence. Ceci étant, les leaders de tous les pays de la CEI ont saisi l’occasion de s’entretenir dans une ambiance informelle avec Dmitri Medvedev.
La Russie et ses partenaires au sein de la CEI sont intéressés à raffermir la coopération économique et à exposer les produits conjoints aux marchés des pays tiers. Ils mettent en œuvre de grands projets internationaux dans l’énergie et dans le domaine des transports. Cela permet à la plupart des pays de la CEI de parler la même langue et d’élaborer une stratégie conjointe à long terme compte tenu des intérêts nationaux. Le sommet à St Petersbourg donnera une nouvelle impulsion à l’intégration reflétant la tendance mondiale à la globalisation de l’économie. Au micro le directeur de l’Institut des pays de la CEI Constantine Zatouline :
Il existe l’Organisation des Etats américains, l’Association des Etats d’Asie du Sud-Est, l’Organisation de coopération d’Asie-Pacifique. Les pays qui n’entretiennent pas toujours de bons rapports entre eux se mettent à la table de négociation pour examiner les problèmes régionaux communs. La CEI demeure l’association la plus représentative dans l’espace postsoviétique. Je comprends parfaitement dans cet ordre d’idée l’aspiration de la nouvelle administration russe et du nouveau président de Russie à consolider la Communauté et à élever son statut, a indiqué Constantine Zatouline.
Les conflits régionaux gelés dans l’espace postsoviétique entravent ce processus. Ils sont à l’agenda des entretiens du président de Russie avec ses homologues géorgien, moldave, arménien et azerbaïdjanais. Dmitri Medvedev échangera d’opinions avec le président ukrainien. D’aucuns en Ukraine et surtout en Occident essaient de profiter des divergences entre les deux pays au détriment des rapports interétatiques. Moscou se rend compte que le dialogue avec la Géorgie et l’Ukraine sera difficile. Or, l’administration russe le poursuivra d’un pas assuré compte tenu des intérêts nationaux et de la nécessité de raffermir la paix et la stabilité dans l’espace postsoviétique.