Le 6 juin est signalé officiellement dans le calendrier russe comme la Journée de Pouchkine, qui marque le jour de la naissance du grand poète national Alexandre Pouchkine.
A Moscou, ville natale du poète, dès le matin des gens venaient à l’une des places centrales, portant son nom, pour déposer des fleurs au pied du monument à Alexandre Pouchkine le jour de son 209e anniversaire. D’autres s’arrêtaient pensifs, en évoquant dans leur mémoire ses poésies, son image. « Et il en sera toujours ainsi », est persuadée la célèbre cantatrice russe Lioubov Kazarnovskaïa, grande admiratrice de l’œuvre pouchkinienne. L’artiste a préparé cette année un important programme littéraire et musical, consacré au poète.
La parole pouchkinienne aura toujours d’actualité, elle va pénétrer les siècles, et peu importe l’âge du lecteur. Pouchkine est un oracle. Que me pardonne les remarquables poètes venus après lui, mais aucun d’eux n’ont réussi à rencontrer un écho aussi profond dans les âmes. Ceci explique la place absolument à part de Pouchkine dans notre culture et indique, telle la Voie Lactée, l’orientation spirituelle d’un Russe ou de toute personne communiquant avec la langue russe. La parole pouchkinienne est comme une gorgée d’eau de source.
Chaque ville cherchait à ajouter de la couleur au programme de la Journée. A Saint-Pétersbourg, par exemple, ville où s’est déroulée la majeure partie de la vie brève, de 37 ans, du poète, un énorme ensemble de fontaines était le lieu d’une représentation musicale et aquatique sur les thèmes de l’œuvre de Pouchkine. Dans le centre ancien sur la Volga – Nijni Novgorod – la fête avait pour devise un vers du poète évoquant les charmeuses de la province. Et dans le nord-est de Russie, dans la ville ancienne de Pskov, ont fêtait la naissance il y a 250 ans de la bonne préférée du poète – Arina Rodionovna. C’est à elle que Pouchkine et tous ses lecteurs doivent la composition d’admirables contes en vers : les enfants russes les apprennent dès leur tendre âge, bien avant de prendre connaissance de ses chefs-œuvres, comme le roman en vers « Eugène Onéguine » ou la tragédie historique « Boris Godounov ».
A Moscou, ville natale du poète, dès le matin des gens venaient à l’une des places centrales, portant son nom, pour déposer des fleurs au pied du monument à Alexandre Pouchkine le jour de son 209e anniversaire. D’autres s’arrêtaient pensifs, en évoquant dans leur mémoire ses poésies, son image. « Et il en sera toujours ainsi », est persuadée la célèbre cantatrice russe Lioubov Kazarnovskaïa, grande admiratrice de l’œuvre pouchkinienne. L’artiste a préparé cette année un important programme littéraire et musical, consacré au poète.
La parole pouchkinienne aura toujours d’actualité, elle va pénétrer les siècles, et peu importe l’âge du lecteur. Pouchkine est un oracle. Que me pardonne les remarquables poètes venus après lui, mais aucun d’eux n’ont réussi à rencontrer un écho aussi profond dans les âmes. Ceci explique la place absolument à part de Pouchkine dans notre culture et indique, telle la Voie Lactée, l’orientation spirituelle d’un Russe ou de toute personne communiquant avec la langue russe. La parole pouchkinienne est comme une gorgée d’eau de source.
Chaque ville cherchait à ajouter de la couleur au programme de la Journée. A Saint-Pétersbourg, par exemple, ville où s’est déroulée la majeure partie de la vie brève, de 37 ans, du poète, un énorme ensemble de fontaines était le lieu d’une représentation musicale et aquatique sur les thèmes de l’œuvre de Pouchkine. Dans le centre ancien sur la Volga – Nijni Novgorod – la fête avait pour devise un vers du poète évoquant les charmeuses de la province. Et dans le nord-est de Russie, dans la ville ancienne de Pskov, ont fêtait la naissance il y a 250 ans de la bonne préférée du poète – Arina Rodionovna. C’est à elle que Pouchkine et tous ses lecteurs doivent la composition d’admirables contes en vers : les enfants russes les apprennent dès leur tendre âge, bien avant de prendre connaissance de ses chefs-œuvres, comme le roman en vers « Eugène Onéguine » ou la tragédie historique « Boris Godounov ».
Cette année la Journée de Pouchkine donne le départ à une action internationale : ouverture des monuments au poète dans différents pays, dont une vingtaine a souhaité en avoir, y compris la Pologne, la Serbie, l’Argentine, la Grèce, le Panama, la Hongrie et le Cameroun. Aussi difficile qu’il ne soit de traduire les œuvres de Pouchkine en d’autres langues, son talent trouve des admirateurs dans diverses parties du monde et son œuvre séduit indépendamment de l’âge, de la confession et de la nationalité.