La participation au scrutin des Russes, vivant à l’étranger, est devenue beaucoup plus élevée, a déclaré Armen Oganessian, président de la compagnie de radiodiffusion d’Etat « La Voix de la Russie », au cours de la 3e conférence sur les problèmes du journalisme international « Les campagnes électorales de 2OO7-2OO8 et leur couverture dans les médias ». La conférence s’est tenue le 14 mai à Moscou à l’initiative de la « Voix de la Russie » avec la participation de la faculté du journalisme de l’université d’Etat Lomonossov et de la chaire du journalisme et des médias de l’UNESCO.
L’activité de l’électorat russe est grandement liée au travail de la compagnie la « Voix de la Russie », estime Armen Oganessian.
Le rôle des médias et de la presse en général au cours des élections de tous les niveaux est en hausse. Nous sommes heureux que la participation de ceux qui ont le droit de voter aux élections russes à l’étranger soit également devenue plus grande. Je n’attribue pas 1OO% de ce succès aux médias russes, mais leur rôle est incontestable. Lorsque la « Voix de la Russie » a commencé à émettre sur FM et après le travail plus actif avec nos compatriotes dans les pays de la CEI et de la Baltique, le nombre des gens qui ont commencé à s’intéresser à la politique et aux hommes politiques russes a considérablement augmenté.
L’activité de l’électorat russe est grandement liée au travail de la compagnie la « Voix de la Russie », estime Armen Oganessian.
Le rôle des médias et de la presse en général au cours des élections de tous les niveaux est en hausse. Nous sommes heureux que la participation de ceux qui ont le droit de voter aux élections russes à l’étranger soit également devenue plus grande. Je n’attribue pas 1OO% de ce succès aux médias russes, mais leur rôle est incontestable. Lorsque la « Voix de la Russie » a commencé à émettre sur FM et après le travail plus actif avec nos compatriotes dans les pays de la CEI et de la Baltique, le nombre des gens qui ont commencé à s’intéresser à la politique et aux hommes politiques russes a considérablement augmenté.
La conférence a rassemblé de grands journalistes, politologues, experts et analystes russes, dont les journalistes de réputation mondiale, qui assurent la couverture des événements internationaux Yassen Zassourski, Boris Kaliaguine et Vladimir Sajine, observateur politique de notre compagnie.
Citant l’exemple des élections dans les pays les pays les plus divers – Russie, Italie, Argentine, Pologne, France, Iran, Asie du Sud et d’autres, qui ont dernièrement connu des campagnes électorales, les professionnels ont essayé d’analyser les bonnes méthodes de leur couverture et de les généraliser dans les médias russes. « Nous avons des objectifs à atteindre et des choses à apprendre auprès des journalistes d’autres pays, ce que nous chercherons à faire. Il s’agit tout d’abord du journalisme analytique, allié à la sociologie, dit Armen Oganessian.
Bien que nous ayons en Russie un grand nombre de groupes sociologiques, la sociométrie selon différents paramètres nous fait manifestement défaut avant et au cours des élections, ce rétrécit la base informationnelle pour l’analyse et le travail des journalistes. Cependant, les services sociologiques ont commencé à travailler en Russie mieux et de façon plus intéressée. Ils posent des questions plus pointues, qui donnent matière au journalisme analytique.
La couverture des campagnes électorales est un thème très intéressant et très important. Les élections se sont compliquées et offrent souvent des sujets incroyables, imprévisibles et complexes. Il s’agit de comprendre comment les journalistes doivent travailler dans ces conditions, comment obtenir des informations, qui rencontrer pour avoir les matériaux les plus intéressants et complets, a déclaré Armen Oganessian.
Citant l’exemple des élections dans les pays les pays les plus divers – Russie, Italie, Argentine, Pologne, France, Iran, Asie du Sud et d’autres, qui ont dernièrement connu des campagnes électorales, les professionnels ont essayé d’analyser les bonnes méthodes de leur couverture et de les généraliser dans les médias russes. « Nous avons des objectifs à atteindre et des choses à apprendre auprès des journalistes d’autres pays, ce que nous chercherons à faire. Il s’agit tout d’abord du journalisme analytique, allié à la sociologie, dit Armen Oganessian.
Bien que nous ayons en Russie un grand nombre de groupes sociologiques, la sociométrie selon différents paramètres nous fait manifestement défaut avant et au cours des élections, ce rétrécit la base informationnelle pour l’analyse et le travail des journalistes. Cependant, les services sociologiques ont commencé à travailler en Russie mieux et de façon plus intéressée. Ils posent des questions plus pointues, qui donnent matière au journalisme analytique.
La couverture des campagnes électorales est un thème très intéressant et très important. Les élections se sont compliquées et offrent souvent des sujets incroyables, imprévisibles et complexes. Il s’agit de comprendre comment les journalistes doivent travailler dans ces conditions, comment obtenir des informations, qui rencontrer pour avoir les matériaux les plus intéressants et complets, a déclaré Armen Oganessian.
