"Je n'ai pas entendu parler de cette réunion, à laquelle participaient exclusivement nos alliés occidentaux. C'est leur droit, ils peuvent examiner ce qui leur chante sans convier personne. Nous ne pouvons cependant pas nous sentir mis à l'écart, car toute démarche sur cette question doit passer par le Conseil de sécurité de l'ONU, dont nous sommes membres permanents", a-t-il souligné.
Le chef de la diplomatie russe a par la suite réitéré l'opinion de Moscou selon laquelle les démarches visant à résoudre la question du Kosovo devaient tenir compte de la position des deux parties.
"Si certaines mesures sortent du cadre de la résolution 1244, ceci rend nécessaire l'adoption d'une nouvelle résolution du Conseil de sécurité", a fait savoir M. Lavrov.
