La Grèce rejoint les pays participant à la construction et à l’exploitation du gazoduc « South Stream » reliant la Russie à l’Europe. Le départ à sa participation au projet international qui doit rendre le marché mondial des ressources énergétiques plus stable est donné au sommet russo-grec à Moscou.
Il est prévu de transférer par le gazoduc « South Stream » le gaz de Russie et, probablement, d’Asie centrale en Europe dans le fond de la mer Noire, écrit Constantine Garibov. Le consortium italien ENI est le partenaire de la société par actons russes Gazprom dans la construction d’un secteur maritime entre la Russie et le port bulgare Bourgas. La partie terrestre du gazoduc sera composée de deux embranchements grâce à la participation de la Grèce. L’un d’eux s’étendra de la Bulgarie en Grèce et ensuite en Italie à travers l’Adriatique. Le deuxième itinéraire passera de Bulgarie en Serbie et ensuite en Hongrie. La Russie a déjà conclu les accords intergouvernementaux avec ces pays. L’Autriche doit devenir prochainement le septième participant à ce projet international.
La Grèce devient un maillon clé de transit dans ce système de livraisons de supports d’énergie russes dans le Sud de l’Europe. Il est très important que les travaux de construction soient engagés dès cette année et le gazoduc soit mis en marche opportunément. Au micro le président de Gazprom Alexei Miller :
Nous espérons que le gazoduc sera mis en marche en 2013. Certes, cela dépendra des conclusions technico-économiques à l’issue de l’examen des itinéraires maritimes et des gazoducs qui passeront à travers le territoire des pays transitaires. Or, nous sommes convaincus qu’il est possible de mettre le gazoduc en marche en 2013, estime Alexei Miller.
Il est prévu de transférer par le gazoduc « South Stream » le gaz de Russie et, probablement, d’Asie centrale en Europe dans le fond de la mer Noire, écrit Constantine Garibov. Le consortium italien ENI est le partenaire de la société par actons russes Gazprom dans la construction d’un secteur maritime entre la Russie et le port bulgare Bourgas. La partie terrestre du gazoduc sera composée de deux embranchements grâce à la participation de la Grèce. L’un d’eux s’étendra de la Bulgarie en Grèce et ensuite en Italie à travers l’Adriatique. Le deuxième itinéraire passera de Bulgarie en Serbie et ensuite en Hongrie. La Russie a déjà conclu les accords intergouvernementaux avec ces pays. L’Autriche doit devenir prochainement le septième participant à ce projet international.
La Grèce devient un maillon clé de transit dans ce système de livraisons de supports d’énergie russes dans le Sud de l’Europe. Il est très important que les travaux de construction soient engagés dès cette année et le gazoduc soit mis en marche opportunément. Au micro le président de Gazprom Alexei Miller :
Nous espérons que le gazoduc sera mis en marche en 2013. Certes, cela dépendra des conclusions technico-économiques à l’issue de l’examen des itinéraires maritimes et des gazoducs qui passeront à travers le territoire des pays transitaires. Or, nous sommes convaincus qu’il est possible de mettre le gazoduc en marche en 2013, estime Alexei Miller.
Moscou a assuré au niveau le plus élevé les Européens que la Russie était à même de satisfaire leurs besoins croissants en énergie. La Russie est le garant de la sécurité énergétique internationale et poursuit à partir de ces positions le dialogue avec les pays étrangers. Notre pays choisit les partenaires fiables qui disputent entre eux le droit de participer aux projets énergétiques. Le projet « South Stream » le confirme. Il renforce la sécurité de chaque pays participant et leur prestige politique et économique sur le continent.
Le gazoduc « South Stream » offre de nouvelles capacités de transport pour livrer le gaz russe aux consommateurs européens. Le problème de la sécurité énergétique et le rôle de Moscou dans sa garantie focaliseront l’attention des délégués au sommet Russie-UE qui aura lieu en été à Khanty-Mansiysk. La mise en œuvre par étapes du projet « South Stream » traduit la disposition de Moscou à poursuivre ce dialogue à un niveau plus élevé.
Le gazoduc « South Stream » offre de nouvelles capacités de transport pour livrer le gaz russe aux consommateurs européens. Le problème de la sécurité énergétique et le rôle de Moscou dans sa garantie focaliseront l’attention des délégués au sommet Russie-UE qui aura lieu en été à Khanty-Mansiysk. La mise en œuvre par étapes du projet « South Stream » traduit la disposition de Moscou à poursuivre ce dialogue à un niveau plus élevé.
