L’Organisation de Coopération de Shanghai est prête à aider l’OTAN concernant la lutte contre le terrorisme et le trafic des stupéfiants en Afghanistan, à déclaré le secrétaire général Bolat Nourgaliev pendant une conférence en duplex Moscou-Pékin.
Les questions liées à la sécurité — la lutte contre le terrorisme, l’extrémisme et le trafic des stupéfiants occupent une place importante dans l’activité de l’OCS, note son secrétaire général Bolat Nourgaliev. L’Organisation de coopération de Shanghai (Chine, Kazakhstan, Kirghizistan, Ouzbékistan, Russie et Tadjikistan) gère les questions liées à la sécurité, à l’économie et la sphère humanitaire, mais ce n’est pas une alliance militaire et politique, a souligné Bolat Nourgaliev. Il ne peut être question de force que s’il s’agit du terrorisme, séparatisme ou trafic illégal d’armes. Pour le moment, il n’y a pas de contacts directs entre l’OCS et l’alliance nord-atlantique, mais nous sommes ouverts à la coopération avec d’autres structures régionales, Bolat Nourgaliev a-t-il fait remarquer.
Pour ce qui est de l’interaction sur l’axe afghan : en ce moment, les pays membres de l'OCS sont situé le long du périmètre de l’Afghanistan, et l’OTAN se trouve à l’intérieur. Donc, il y a un intérêt commun pour que Kaboul assure un contrôle efficace dans le pays, pour éliminer la menace de terrorisme et de prolifération de la drogue. Je ne vois pas d’obstacles à ce genre de coopération avec l’OTAN, a dit le Secrétaire général de l’OCS. La menace terroriste et narcotique est transnationale, pour lutter efficacement contre elle, il faut élaborer des approches conjointes. L’OCS a déjà une expérience de ce genre de coopération avec d’autres organisations régionales — L’OTSC, la CEI, la Communauté économique eurasienne, l’UE et l’OSCE, a déclaré Bolat Nourgaliev.
Il est clair que la situation en Afghanistan est critique et qu’on ne peut pas se passer de l’interaction avec la Russie. Moscou n’a pas intérêt à ce que l’alliance nord-atlantique essuie une défaite et que les talibans remportent une victoire, a déclaré il y a quelques jours le vice-ministre des AE de Russie Alexandre Grouchko. Selon lui, l’interaction entre Moscou et Bruxelles peut y être consolidée. Lors du sommet Russie-OTAN à Bucarest, un pas important a été fait dans cette direction. La Russie a consenti au transit terrestre du fret de l’alliance destiné à l’Afghanistan via son territoire, un accord analogique a été atteint avec le Kazakhstan. Mais pour assurer le règlement en Afghanistan, il faudrait coopérer non seulement avec des pays séparés, mais aussi avec les structures internationales régionales comme l’OTSC et l’OCS, qui ont prouvé leur efficacité dans la lutte contre le terrorisme international et la menace narcotique.
Les questions liées à la sécurité — la lutte contre le terrorisme, l’extrémisme et le trafic des stupéfiants occupent une place importante dans l’activité de l’OCS, note son secrétaire général Bolat Nourgaliev. L’Organisation de coopération de Shanghai (Chine, Kazakhstan, Kirghizistan, Ouzbékistan, Russie et Tadjikistan) gère les questions liées à la sécurité, à l’économie et la sphère humanitaire, mais ce n’est pas une alliance militaire et politique, a souligné Bolat Nourgaliev. Il ne peut être question de force que s’il s’agit du terrorisme, séparatisme ou trafic illégal d’armes. Pour le moment, il n’y a pas de contacts directs entre l’OCS et l’alliance nord-atlantique, mais nous sommes ouverts à la coopération avec d’autres structures régionales, Bolat Nourgaliev a-t-il fait remarquer.
Pour ce qui est de l’interaction sur l’axe afghan : en ce moment, les pays membres de l'OCS sont situé le long du périmètre de l’Afghanistan, et l’OTAN se trouve à l’intérieur. Donc, il y a un intérêt commun pour que Kaboul assure un contrôle efficace dans le pays, pour éliminer la menace de terrorisme et de prolifération de la drogue. Je ne vois pas d’obstacles à ce genre de coopération avec l’OTAN, a dit le Secrétaire général de l’OCS. La menace terroriste et narcotique est transnationale, pour lutter efficacement contre elle, il faut élaborer des approches conjointes. L’OCS a déjà une expérience de ce genre de coopération avec d’autres organisations régionales — L’OTSC, la CEI, la Communauté économique eurasienne, l’UE et l’OSCE, a déclaré Bolat Nourgaliev.
Il est clair que la situation en Afghanistan est critique et qu’on ne peut pas se passer de l’interaction avec la Russie. Moscou n’a pas intérêt à ce que l’alliance nord-atlantique essuie une défaite et que les talibans remportent une victoire, a déclaré il y a quelques jours le vice-ministre des AE de Russie Alexandre Grouchko. Selon lui, l’interaction entre Moscou et Bruxelles peut y être consolidée. Lors du sommet Russie-OTAN à Bucarest, un pas important a été fait dans cette direction. La Russie a consenti au transit terrestre du fret de l’alliance destiné à l’Afghanistan via son territoire, un accord analogique a été atteint avec le Kazakhstan. Mais pour assurer le règlement en Afghanistan, il faudrait coopérer non seulement avec des pays séparés, mais aussi avec les structures internationales régionales comme l’OTSC et l’OCS, qui ont prouvé leur efficacité dans la lutte contre le terrorisme international et la menace narcotique.
