L’un des jours d’avril l’Office national interprofessionnel des fruits, des légumes, des vins et de l’horticulture (Viniflhor), la Société pour l’Expansion des Ventes des Produits Agricoles et Alimentaires français (SOPEXA) et l’Agence de publicité AIDIT ont invité des journalistes moscovites a une conférence de presse à l’occasion du lancement d’une nouvelle campagne publicitaire des vins de France en Russie. Notre correspondant Igor Yazon a suivi la présentation, qui s’est déroulée au « Théâtre Strastnoï Boulevard ».
Sans risque d’exagérer on peut dire que l’évocation de la France s’associe dans la plupart des esprits russes à la fois à quatre marques nationales les plus connues de ce pays – la cathédrale Nôtre-Dame-de-Paris, la Tour Eiffel, les fromages et les vins. Pour voir les deux premiers il faut se déplacer dans la capitale de France, alors que les fromages et surtout les vins français peuvent depuis quelque temps être goutés dans pratiquement toute ville plus ou moins importante de Russie. Et pourtant il doit y avoir beaucoup plus de vins de France en Russie que maintenant. C’est le but que ce sont fixés Viniflhor et SOPEXA, en donnant le départ à une nouvelle campagne publicitaire des vins français en Russie sous la devise « Avec les vins de France la vie est meilleure ». La campagne, prévue pour 3 ans, a été conçue par l’agence AIDIT. Et c’est elle aussi qui a été chargée de la mener à travers notre pays. « La tâche n’est pas facile, mais parfaitement réalisable », a dit aux participants à la conférence de presse le chef de l’agence Thierry David, en citant beaucoup de chiffres à l’appui. Sans les énumérer tous, nous en mentionnerons, tout de même, quelques-uns. La consommation des vins en France en 2006 a représenté 54 litres par an et par habitant, en Russie — seulement 7, contre 5 il y a quelques années. L’agence AIDIT est persuadée que les Russes vont consommer toujours plus de vins, y compris français. Le marché des vins en Russie, tout comme dans le monde, s’étend d’année en année. Mais la concurrence devient elle aussi plus serrée. Voici ce qu’a dit à ce propos aux journalistes André Barlier, Directeur Adjoint du Viniflhor
Sans risque d’exagérer on peut dire que l’évocation de la France s’associe dans la plupart des esprits russes à la fois à quatre marques nationales les plus connues de ce pays – la cathédrale Nôtre-Dame-de-Paris, la Tour Eiffel, les fromages et les vins. Pour voir les deux premiers il faut se déplacer dans la capitale de France, alors que les fromages et surtout les vins français peuvent depuis quelque temps être goutés dans pratiquement toute ville plus ou moins importante de Russie. Et pourtant il doit y avoir beaucoup plus de vins de France en Russie que maintenant. C’est le but que ce sont fixés Viniflhor et SOPEXA, en donnant le départ à une nouvelle campagne publicitaire des vins français en Russie sous la devise « Avec les vins de France la vie est meilleure ». La campagne, prévue pour 3 ans, a été conçue par l’agence AIDIT. Et c’est elle aussi qui a été chargée de la mener à travers notre pays. « La tâche n’est pas facile, mais parfaitement réalisable », a dit aux participants à la conférence de presse le chef de l’agence Thierry David, en citant beaucoup de chiffres à l’appui. Sans les énumérer tous, nous en mentionnerons, tout de même, quelques-uns. La consommation des vins en France en 2006 a représenté 54 litres par an et par habitant, en Russie — seulement 7, contre 5 il y a quelques années. L’agence AIDIT est persuadée que les Russes vont consommer toujours plus de vins, y compris français. Le marché des vins en Russie, tout comme dans le monde, s’étend d’année en année. Mais la concurrence devient elle aussi plus serrée. Voici ce qu’a dit à ce propos aux journalistes André Barlier, Directeur Adjoint du Viniflhor
