Selon elle, il s'agit d'une multiplication considérable de ce type de délits.
Les forces de l'ordre ne prennent pas de mesures sérieuses en vue de prévenir la violence à l'égard des enfants. Pis, elles restent souvent indifférentes à la violence familiale tant qu'une infraction n'est pas commise.
Les parlementaires russes jugent insatisfaisant le travail de la police et des commissions chargées des mineurs et proposent d'accorder aux ombudsmans le droit de saisir le tribunal en cas de violation réelle ou potentielle des droits de l'enfant, a indiqué Mme Mizoulina.
A son avis, cette mesure permettrait de mieux défendre en justice les intérêts des mineurs.
Après avoir rappelé que les délégués aux droits des mineurs exerçaient leurs activités dans 23 régions de la Russie, la parlementaire a souligné que leur présence était absolument nécessaire dans toutes les régions du pays.