Vous êtes à l’écoute de l’émission du cycle « Le français ici et ailleurs ».
Nous allons vous présenter Riazan, ville russe des plus anciennes, à l’histoire dramatique.
Riazan a deux dates officielles de naissance et, quant au fond, deux histoires. Vous pouvez en juger vous-mêmes
Nous allons vous présenter Riazan, ville russe des plus anciennes, à l’histoire dramatique.
Riazan a deux dates officielles de naissance et, quant au fond, deux histoires. Vous pouvez en juger vous-mêmes
La situation géographique de Riazan convient on ne peut mieux au rôle qu’a joué à l’époque pratiquement chaque ville : celui de la forteresse.
Le fleuve Oka fait des méandres entre les collines et les terrasses, et un panorama pittoresque s’étendant à deux dizaines de verstes s’ouvre aux yeux.
D’innombrables tentes et langues de feu des troupes du khan Batyi ayant rempli les environs de Riazan en hiver 1237 viennent tout de suite à l’esprit. Nos ancêtres ont été résolus à repousser l’assaut de l’ennemi. Néanmoins, la ville a été brûlée et les habitants ont péri.
L’auteur du « Récit de la ruine de Riazan par Batyi » décrivait comme suit cette bataille : « Personne n’est resté vivant, tous sont morts dans la ville ». La ville a caché ses mystères sous les cendres.
Cependant, les mystères sont parfois révélés. Ainsi, les paysans Efimov et Petrov ont découvert par hasard un trésor là où était située à l’époque Riazan dont les vestiges s’appellent aujourd’hui la vieille Riazan.
La ville écrasée par les Tataro-Mongols n’a pas su se remettre. Cependant, le petit Pereyaslavl situé à 50 vertes au bord de l’Oka a joué un rôle de plus en plus important. Vers la fin du 14ème siècle il s’appelait déjà Nouvelle Riazan et au 17ème siècle – Pereyaslavl-Riazanski. Après la formation du gouvernement de Riazan le nom de Pereyaslavl est disparu des documents officiels.
Aujourd’hui la ville régionale de Riazan est un centre de production et culturel avec des musées, des théâtres, des Instituts et des entreprises. Le Kremlin est depuis dix siècles la carte de visite et l’ornement essentiel de la ville.
Nous proposons à votre attention une interview recueillie par notre correspondante Nadejda Vassilieva auprès du professeur de français à Riazan Ekaterina Philippova :
Vous avez écouté dans notre émission du cycle « Le Français ici et ailleurs » une interview recueillie auprès de Ekaterina Philippova, professeur de français de Riazan, ville russe ancienne.
Le fleuve Oka fait des méandres entre les collines et les terrasses, et un panorama pittoresque s’étendant à deux dizaines de verstes s’ouvre aux yeux.
D’innombrables tentes et langues de feu des troupes du khan Batyi ayant rempli les environs de Riazan en hiver 1237 viennent tout de suite à l’esprit. Nos ancêtres ont été résolus à repousser l’assaut de l’ennemi. Néanmoins, la ville a été brûlée et les habitants ont péri.
L’auteur du « Récit de la ruine de Riazan par Batyi » décrivait comme suit cette bataille : « Personne n’est resté vivant, tous sont morts dans la ville ». La ville a caché ses mystères sous les cendres.
Cependant, les mystères sont parfois révélés. Ainsi, les paysans Efimov et Petrov ont découvert par hasard un trésor là où était située à l’époque Riazan dont les vestiges s’appellent aujourd’hui la vieille Riazan.
La ville écrasée par les Tataro-Mongols n’a pas su se remettre. Cependant, le petit Pereyaslavl situé à 50 vertes au bord de l’Oka a joué un rôle de plus en plus important. Vers la fin du 14ème siècle il s’appelait déjà Nouvelle Riazan et au 17ème siècle – Pereyaslavl-Riazanski. Après la formation du gouvernement de Riazan le nom de Pereyaslavl est disparu des documents officiels.
Aujourd’hui la ville régionale de Riazan est un centre de production et culturel avec des musées, des théâtres, des Instituts et des entreprises. Le Kremlin est depuis dix siècles la carte de visite et l’ornement essentiel de la ville.
Nous proposons à votre attention une interview recueillie par notre correspondante Nadejda Vassilieva auprès du professeur de français à Riazan Ekaterina Philippova :
Vous avez écouté dans notre émission du cycle « Le Français ici et ailleurs » une interview recueillie auprès de Ekaterina Philippova, professeur de français de Riazan, ville russe ancienne.
