Les représentants de toutes les missions d’observateurs internationaux, invitées aux présidentielles du 2 mars en Russie, ont commencé le monitoring de la campagne électorale, a déclaré le chef de la Commission électorale centrale Vladimir Tchourov.
Tout est prêt en Russie pour recevoir les observateurs qui bénéficieront des conditions favorables à leur travail, a-t-il précisé.
Les missions, que nous avons invitées, sont déjà sur place. Le premier groupe de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe a eu plusieurs rencontres importantes à Moscou. Le 15 février nous rencontrons la mission de la CEI. Des représentants de nos collègues de différents pays de l’Ouest et de l’Est arriveront dans quelques jours. Le colloque avec la participation des observateurs européens et asiatiques, qui s’est dernièrement tenu à St. Petersbourg, a marqué une étape de préparatifs du monitoring. Ses participants ont élaboré plusieurs propositions pour réglementer le processus de l’observation du scrutin et créer des normes et des règles générales du monitoring. Une conférence spéciale de l’OSCE sera consacrée à ce thème
La Russie et les pays de la Communauté des Etats indépendants parlent depuis longtemps de la nécessité d’élaborer au Conseil de l’Europe un document unique pour toutes les structures européennes- la Convention sur les normes de l’observation internationale. Ce document aiderait à éviter la politique de « deux poids deux mesures » et le subjectivisme dans le monitoring du scrutin, qui se manifestent aujourd’hui pleinement, notamment dans la politique de l’OSCE.
Tout est prêt en Russie pour recevoir les observateurs qui bénéficieront des conditions favorables à leur travail, a-t-il précisé.
Les missions, que nous avons invitées, sont déjà sur place. Le premier groupe de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe a eu plusieurs rencontres importantes à Moscou. Le 15 février nous rencontrons la mission de la CEI. Des représentants de nos collègues de différents pays de l’Ouest et de l’Est arriveront dans quelques jours. Le colloque avec la participation des observateurs européens et asiatiques, qui s’est dernièrement tenu à St. Petersbourg, a marqué une étape de préparatifs du monitoring. Ses participants ont élaboré plusieurs propositions pour réglementer le processus de l’observation du scrutin et créer des normes et des règles générales du monitoring. Une conférence spéciale de l’OSCE sera consacrée à ce thème
La Russie et les pays de la Communauté des Etats indépendants parlent depuis longtemps de la nécessité d’élaborer au Conseil de l’Europe un document unique pour toutes les structures européennes- la Convention sur les normes de l’observation internationale. Ce document aiderait à éviter la politique de « deux poids deux mesures » et le subjectivisme dans le monitoring du scrutin, qui se manifestent aujourd’hui pleinement, notamment dans la politique de l’OSCE.
27 organisations, soit plus de 3OO représentants étrangers, ont été invités à prendre part au monitoring des présidentielles en Russie. Deux d’entre elles – le Bureau des institutions démocratiques et des droits de l’homme et l’Assemblée parlementaire de l’Organisation sur la sécurité et la coopération en Europe – ont refusé d’envoyer leurs représentants. Leur position envers les présidentielles en Russie avait toujours été empreinte d’idéologie partisane, estime Moscou. Mais l’absence d’une mission n’exercera aucune influence sur le processus du monitoring. Elle augmentera seulement l’importance numérique des autres délégations, estime Vladimir Tchourov.
