Selon lui, les papiers des journalistes qui ont été relâchés se trouvent à la direction régionale du FMS.
"Les journalistes ne nous ont pas encore présenté les papiers les autorisant à travailler dans notre pays", a expliqué l'interlocuteur de l'agence, rappelant que le FMS contrôle tous les ressortissants étrangers pour établir si leur présence constituait ou non une infraction à la législation russe.
Le représentant du FMS n'a pas pu citer les médias pour le compte desquels travaillent ces journalistes.
En cas de confirmation d'une infraction les ressortissants français sont menacés d'une amende allant de 2.000 à 5.000 roubles (55 à 140 euros).
L'ambassade de France à Moscou n'a pas souhaité faire de commentaires pour l'instant.