Le nombre des pays, qui souhaitent participer aux activités du Centre international d’enrichissement d’uranium dans la ville sibérienne d’Angarsk, ne cesse de croître. L’Arménie y prendra part aux côtés de la Russie et du Kazakhstan, ce qui a été décidé à l’issue de la visite, accomplie dans ce pays par le premier ministre russe Victor Zoubkov.
Le nombre des pays, disposant de centrales nucléaires ou souhaitant s’en doter , augmente rapidement. Plus de 4OO réacteurs existent déjà dans le monde. Selon les prévisions des spécialistes, vers 2O3O leur nombre atteindra un millier, ce qui met objectivement en cause la non- prolifération nucléaire. Les pays qui ne possèdent par l’arme nucléaire pourraient être tentés de se consacrer à sa production, au lieu d’utiliser l’énergie atomique à des fins civiles. Aussi faudrait-il créer un système global de contrôle de sa non dissémination. Telle est l’idée de la Russie. Comme la concurrence sur le marché mondial des marchandises et des services du cycle nucléaire ne cesse de croître, la Russie a des choses à proposer à la communauté mondiale, estime Vyatcheslav Kouznetzov, directeur de l’Institut de l’énergétique innovante au centre scientifique russe « l’Institut Kourtchatov ».
Il s’agit tout d’abord du combustible nucléaire et des services de ce cycle. Les propositions russes ont été exposées par le président Poutine : il s’agit de créer des centres internationaux du combustible nucléaire, ce qui ouvre la voie du développement intense de l’énergétique atomique, accompagné de barrières plus sûres de la non- prolifération des technologies critiques.
Tous les pays respectant les engagements de non-prolifération auront un accès égal à l’atome civil sous le contrôle de l’AIEA. Plus précisément, aux services du cycle nucléaire. Le centre d’Angarsk représente l’application de cette idée. Son choix peut être considéré comme réussi, puisqu’il avait toujours été plus civil que militaire. En outre, il dispose de capacités non exploitées, qu’on pourrait utiliser pour les besoins du centre international sous le contrôle de l’AIEA.
Le nombre des pays, disposant de centrales nucléaires ou souhaitant s’en doter , augmente rapidement. Plus de 4OO réacteurs existent déjà dans le monde. Selon les prévisions des spécialistes, vers 2O3O leur nombre atteindra un millier, ce qui met objectivement en cause la non- prolifération nucléaire. Les pays qui ne possèdent par l’arme nucléaire pourraient être tentés de se consacrer à sa production, au lieu d’utiliser l’énergie atomique à des fins civiles. Aussi faudrait-il créer un système global de contrôle de sa non dissémination. Telle est l’idée de la Russie. Comme la concurrence sur le marché mondial des marchandises et des services du cycle nucléaire ne cesse de croître, la Russie a des choses à proposer à la communauté mondiale, estime Vyatcheslav Kouznetzov, directeur de l’Institut de l’énergétique innovante au centre scientifique russe « l’Institut Kourtchatov ».
Il s’agit tout d’abord du combustible nucléaire et des services de ce cycle. Les propositions russes ont été exposées par le président Poutine : il s’agit de créer des centres internationaux du combustible nucléaire, ce qui ouvre la voie du développement intense de l’énergétique atomique, accompagné de barrières plus sûres de la non- prolifération des technologies critiques.
Tous les pays respectant les engagements de non-prolifération auront un accès égal à l’atome civil sous le contrôle de l’AIEA. Plus précisément, aux services du cycle nucléaire. Le centre d’Angarsk représente l’application de cette idée. Son choix peut être considéré comme réussi, puisqu’il avait toujours été plus civil que militaire. En outre, il dispose de capacités non exploitées, qu’on pourrait utiliser pour les besoins du centre international sous le contrôle de l’AIEA.