"La voix du fournisseur doit être entendue, car le consommateur n'est pas l'unique élément du système. Nous devons comprendre que les modifications réalisées au niveau d'un maillon se répercuteront sur toute la chaîne", a-t-il indiqué.
Le ministre a souligné que la Russie n'avait pas encore évalué l'effet des amendements apportés à la législation communautaire, surtout dans le domaine des livraisons de gaz.
"Nous estimons que le marché du gaz diffère sensiblement de celui de l'électricité et que l'application des mêmes normes comporte des risques", a ajouté M. Khristenko.
Participant actif au dialogue énergétique, la Russie a immédiatement associé fonctionnaires et représentants des sociétés concernées à la discussion sur les nouvelles initiatives européennes.