Moscou est au plus haut point préoccupée par l’évolution de la situation en Géorgie, a déclaré jeudi 8 novembre le porte-parole du ministère russe des AE Mikhaïl Kamynine.
Moscou est préoccupée par l’évolution de la situation en Géorgie. Nous estimons que la proclamation de l’état d’urgence et les tentatives de présenter la Russie comme un ennemi traduisent l’inaptitude de l’administration géorgienne à régler les problèmes politiques intérieurs d’une manière civilisée. Selon la Russie, la situation en Géorgie est au seuil d’une crise dans le domaine des droits de l’homme. Les sujets télévisés ont démontré ce que c’était la démocratie à la géorgienne. La dispersion d’une manifestation de paix avec emploi de la force, la fermeture des médias, le passage à tabac des journalistes étrangers y compris russes, a souligné Mikhaïl Kamynine.
Selon Moscou, la communauté mondiale, les grandes institutions pour la protection des droits de l’homme, les organismes gouvernementaux et non gouvernementaux devraient inviter Tbilissi à mettre fin à la violence, à respecter entièrement les droits de l’homme. La Russie espère que la communauté internationale, notamment l’ONU, l’OSCE et le Conseil de l’Europe porteront leur jugement sur les répressions de l’opposition politique en Géorgie. Il est nécessaire de régler les problèmes politiques intérieurs sans emploi de la force, dans le champ constitutionnel, est-il indiqué dans la déclaration du porte-parole du ministère russe des AE.
Moscou est préoccupée par l’évolution de la situation en Géorgie. Nous estimons que la proclamation de l’état d’urgence et les tentatives de présenter la Russie comme un ennemi traduisent l’inaptitude de l’administration géorgienne à régler les problèmes politiques intérieurs d’une manière civilisée. Selon la Russie, la situation en Géorgie est au seuil d’une crise dans le domaine des droits de l’homme. Les sujets télévisés ont démontré ce que c’était la démocratie à la géorgienne. La dispersion d’une manifestation de paix avec emploi de la force, la fermeture des médias, le passage à tabac des journalistes étrangers y compris russes, a souligné Mikhaïl Kamynine.
Selon Moscou, la communauté mondiale, les grandes institutions pour la protection des droits de l’homme, les organismes gouvernementaux et non gouvernementaux devraient inviter Tbilissi à mettre fin à la violence, à respecter entièrement les droits de l’homme. La Russie espère que la communauté internationale, notamment l’ONU, l’OSCE et le Conseil de l’Europe porteront leur jugement sur les répressions de l’opposition politique en Géorgie. Il est nécessaire de régler les problèmes politiques intérieurs sans emploi de la force, dans le champ constitutionnel, est-il indiqué dans la déclaration du porte-parole du ministère russe des AE.
Le Conseil de l’Europe a déjà apprécié les événements se produisant en Géorgie. Selon le secrétaire général du Conseil Terry Davis, les autorités géorgiennes devraient observer strictement la Convention européenne pour les droits de l’homme qui garantit la liberté des réunions. La proclamation de l’état d’urgence et la fermeture des médias indépendants en Géorgie n’ont rien à voir avec les valeurs européennes, a souligné le secrétaire général de l’OTAN Jaap de Hoop Scheffer.
La Russie a déclaré à nouveau que loin d’être un ennemi de la Géorgie, elle est son amie, l’amie du peuple géorgien. La Fédération de Russie s’acquittera de ses engagements conformément au mandat de l’ONU et de l’OSCE en vue de prêter concours au règlement des conflits de la Géorgie avec l’Abkhazie et l’Ossétie. La Russie observera, en outre, ses engagements en protégeant les citoyens russes habitant en Abkhazie et en Ossétie du Sud. Ces actes seront fondés sur les clauses du droit international et de la Charte de l’ONU.
La Russie a déclaré à nouveau que loin d’être un ennemi de la Géorgie, elle est son amie, l’amie du peuple géorgien. La Fédération de Russie s’acquittera de ses engagements conformément au mandat de l’ONU et de l’OSCE en vue de prêter concours au règlement des conflits de la Géorgie avec l’Abkhazie et l’Ossétie. La Russie observera, en outre, ses engagements en protégeant les citoyens russes habitant en Abkhazie et en Ossétie du Sud. Ces actes seront fondés sur les clauses du droit international et de la Charte de l’ONU.
