Une conférence internationale sur le Proche-Orient qui doit se tenir fin novembre à Annapolis, bénéficie du soutien total de la part de Russie, a annoncé le vice-ministre russe des Affaires étrangères Alexandre Saltanov à l’issue des consultations avec le diplomate israélien haut placé Pinhas Alivi. Les entretiens à Moscou ont montré que la Russie est capable d’influer sur l’issue de la rencontre multilatérale, trouve notre observateur Alexandre Vatoutine.
La tenue du forum à Annapolis est fixée pour le 26 novembre, mais les positions des ses principaux membres –Israël et la Palestine ne sont pas arrivés à rapprocher leurs positions. Le voyage récent de la secrétaire d’état américaine Condoleezza Rice dans la région a fait ressortir que les parties gardaient toujours leurs avis. Le leader palestinien Mahmoud Abbas insiste, chaque fois qu’il rencontre son interlocuteur israélien Ehud Olmert que le document qui sera adopté à Annapolis doit avoir un contenu bien concret. Il a en vue les principaux problèmes du règlement israélo-palestinien, à savoir : les frontières, le statut de Jérusalem, les réfugiés. Tel-Aviv, lui, trouve que ce document est une espèce de déclaration d’intentions.
Les Etats-Unis soutiennent la position d’Israël, donc, ils font pression sur les Palestiniens au lieu de chercher des compromis. Dans cette situation, la diplomatie russe, capable de dialoguer avec toutes les parties du conflit, peut jouer un rôle constructif. La déclaration d’Alexandre Saltanov le confirme. Il a dit qu’à la veille de la rencontre à Annapolis, les accords devaient être approuvés par les parties directement impliquées — Israël et les Palestiniens. En plus, Moscou trouve que le forum aux Etats-Unis qui précède une large conférence internationale doit devenir une étape du règlement global du conflit arabo-israélien. Le chef de la diplomatie russe Sergei Lavrov a diffusé cette position lors de la dernière rencontre du quartette des médiateurs sur le PO- La Russie, l’ONU, Les Etats-Unis et l’UE.
La tenue du forum à Annapolis est fixée pour le 26 novembre, mais les positions des ses principaux membres –Israël et la Palestine ne sont pas arrivés à rapprocher leurs positions. Le voyage récent de la secrétaire d’état américaine Condoleezza Rice dans la région a fait ressortir que les parties gardaient toujours leurs avis. Le leader palestinien Mahmoud Abbas insiste, chaque fois qu’il rencontre son interlocuteur israélien Ehud Olmert que le document qui sera adopté à Annapolis doit avoir un contenu bien concret. Il a en vue les principaux problèmes du règlement israélo-palestinien, à savoir : les frontières, le statut de Jérusalem, les réfugiés. Tel-Aviv, lui, trouve que ce document est une espèce de déclaration d’intentions.
Les Etats-Unis soutiennent la position d’Israël, donc, ils font pression sur les Palestiniens au lieu de chercher des compromis. Dans cette situation, la diplomatie russe, capable de dialoguer avec toutes les parties du conflit, peut jouer un rôle constructif. La déclaration d’Alexandre Saltanov le confirme. Il a dit qu’à la veille de la rencontre à Annapolis, les accords devaient être approuvés par les parties directement impliquées — Israël et les Palestiniens. En plus, Moscou trouve que le forum aux Etats-Unis qui précède une large conférence internationale doit devenir une étape du règlement global du conflit arabo-israélien. Le chef de la diplomatie russe Sergei Lavrov a diffusé cette position lors de la dernière rencontre du quartette des médiateurs sur le PO- La Russie, l’ONU, Les Etats-Unis et l’UE.
La rencontre peut initier une progression pratique du règlement non seulement entre Palestiniens et Israéliens, mais aussi dans tout le PO, sur tous les axes. Il ouvrira probablement une voie à une conférence internationale sur le PO, souvent évoqué par le président russe Vladimir poutine et les membres de la Ligue Arabe.
Les observateurs notent que l’aptitude de Moscou à trouver des compromis est un gage du progrès dans le règlement proche-oriental.
Les observateurs notent que l’aptitude de Moscou à trouver des compromis est un gage du progrès dans le règlement proche-oriental.
