"Or, malgré son développement très rapide, le pays n'est pas encore parvenu à régler une série de problèmes", a-t-il ajouté.
Au nombre de problèmes non résolus, le président azerbaïdjanais a cité le rétablissement de la justice sociale. A son avis, "c'est une question vitale pour le pays".
M. Aliev a constaté l'afflux de capitaux étrangers dans l'économie azerbaïdjanaise et a indiqué que ces investissements devaient augmenter dans un proche avenir. "Mais nous devons transformer ce capital financier en capital humain. Voici pourquoi il faut investir en premier lieu dans l'éducation et la santé publique", a-t-il ajouté.
Evoquant les réformes opérées dans différents domaines, le président a souligné qu'elles permettraient à l'Azerbaïdjan de renforcer sa position aussi bien dans la région que dans le monde entier.
"Grâce à la politique pratiquée par Bakou, les diverses régions du pays se développent depuis quelques années à un rythme accéléré. Le gouvernement fait tout son possible dans ce sens", a conclu M. Aliev.
