89% des interrogés se disent hostiles à une éventuelle frappe préventive contre les sites nucléaires iraniens, et seulement 8% d'entre eux estiment que les frappes sont au contraire nécessaires.
La grande majorité des analystes (80%) pensent que le renforcement des sanctions à l'égard de l'Iran devrait aller de pair avec un dialogue bilatéral direct avec Téhéran sur le programme nucléaire iranien.
Réalisée du 23 mai au 26 juin par le Center for American Progress et la revue Foreign Policy auprès de 108 experts américains reconnus, dont l'ex-directeur de la CIA, James Woolsey, l'ex-assistant du vice-président Dick Cheney, Aaron Friedberg, et les ex-secrétaires d'Etat Lawrence Eagleburger et Madeleine Albright, cette étude a été rendue publique mercredi à Washington.