Personne ne saurait imposer le sentiment de culpabilité à la Russie ni la sermonner, a déclaré le président Vladimir Poutine en s’entretenant avec les professeurs des disciplines historiques participant à la conférence nationale à Moscou.
Il s’agit des spéculations liées aux pages difficiles de l’histoire russe. Ce sujet largement débattu en Occident à l’époque soviétique s’est avérée demandé ces dernières années également. La propagande est due à l’aspiration à présenter la Russie dans l’aspect négatif.
« Certes, il y a eu des pages terribles dans notre histoire », a avoué le président de Russie ayant en vue, notamment, les répressions staliniennes. Or, il y a eu des phénomènes terribles dans l’histoire d’autres pays voire beaucoup plus effrayants – dans certains d’entre eux.
« Quoi qu’il en soit, dit Vladimir Poutine, nous n’avons pas employé les armes nucléaires à l’égard des civils. Nous n’avons pas arrosé de substances chimiques des milliers de kilomètres de territoire, ni lancé contre un petit pays sept fois plus de bombes que pendant la Grande Guerre Patriotique comme cela a été le cas, disons, au Vietnam. Il n’y a pas eu chez nous de pages noires comme, par exemple, le nazisme. Il ne faut pas admettre qu’on nous impose le sentiment de culpabilité ».
Il s’agit des spéculations liées aux pages difficiles de l’histoire russe. Ce sujet largement débattu en Occident à l’époque soviétique s’est avérée demandé ces dernières années également. La propagande est due à l’aspiration à présenter la Russie dans l’aspect négatif.
« Certes, il y a eu des pages terribles dans notre histoire », a avoué le président de Russie ayant en vue, notamment, les répressions staliniennes. Or, il y a eu des phénomènes terribles dans l’histoire d’autres pays voire beaucoup plus effrayants – dans certains d’entre eux.
« Quoi qu’il en soit, dit Vladimir Poutine, nous n’avons pas employé les armes nucléaires à l’égard des civils. Nous n’avons pas arrosé de substances chimiques des milliers de kilomètres de territoire, ni lancé contre un petit pays sept fois plus de bombes que pendant la Grande Guerre Patriotique comme cela a été le cas, disons, au Vietnam. Il n’y a pas eu chez nous de pages noires comme, par exemple, le nazisme. Il ne faut pas admettre qu’on nous impose le sentiment de culpabilité ».
La Russie s’est débrouillée avec son passé ayant condamné les crimes. Les peuples de l’URSS en sont tombées avant tout victimes. Que ceux qui spéculent sur notre tragédie et nos maux prononcent un verdict non moins impartial à leur histoire qu’a réussi à le faire la Russie.