Il est persuadé que "le potentiel de coopération au sein de la CEI n'est pas encore épuisé". Selon le parlementaire, "le prochain sommet réunira des leaders dont la position vis-à-vis de la communauté est longtemps restée empreinte de scepticisme".
"La Géorgie, l'Ukraine et la Turkménie en la personne de son ancien président ont souvent mésestimé l'activité de l'organisation. Les déclarations ou le comportement de leurs leaders ont souvent provoqué une vague de propos sur l'inconsistance de la CEI. Il n'en reste pas moins que la Communauté présente toujours de l'intérêt pour eux", a souligné le député.
A son avis, "la présence de Saakachvili et de Iouchtchenko au sommet jouera un rôle lors de l'examen des questions relatives à l'énergie, au transport, à la migration et aux problèmes humanitaires".
"Mais c'est le président turkmène qui sera l'invité le plus longtemps attendu. La politique actuellement pratiquée par M. Berdymoukhammedov peut être considérée comme une tentative de tirer le pays de l'isolement. Prenant part au sommet, il cherche avant tout à intensifier les relations économiques", a constaté M. Bilalov.
Selon le parlementaire, le fait que le président turkmène choisit ses partenaires parmi les membres de la CEI ne manquera pas de renforcer la coopération dans l'espace postsoviétique.