"L'instruction est actuellement en cours à Stavropol et je pense que nous n'envisageons aucunement un mobile à caractère national pour ce crime. Tout du moins, nous disposons aujourd'hui d'informations indiquant que ce crime ne se distingue pas foncièrement d'autres crimes", a déclaré le ministre aux journalistes à Makhatchkala.
"Il y a certaines avancées dans l'enquête et il est impossible d'affirmer que ce crime a été commis pour des raisons nationales", a-t-il ajouté.
Dimanche 3 juin, une rixe a eu lieu à côté de l'académie d'Etat de médecine à Stavropol. Les corps de deux jeunes gens portant des blessures à l'arme blanche ont été retrouvés sur les lieux. Plus tôt, le 24 mai, une bagarre avait éclaté entre les communautés russe et tchétchène dans la ville, faisant un mort.