La 11e édition du Forum économique, qui s’ouvre vendredi à Saint-Pétersbourg, est attendue la plus importante pour le nombre des participants. Son objectif majeur est d’évaluer les nouvelles possibilités offertes par l’économie russe aux leaders du business mondial, considère le président de l’Union des industriels et du patronat de Russie Alexandre Chokhine.
Il s’agit de transformer le Forum de Saint-Pétersbourg en un centre d’attraction vers la Russie. La discussion des problèmes russes va désormais se dérouler en Russie, et non comme c’était souvent le cas, sur les rives de la Tamise ou en montagne en Suisse. C’est essentiel, car nous n’avons plus à prouver que chez nous tout va bien. Le marché boursier russe démontre une forte dynamique, un attrait. Ici sont réalisés de gros projets d’investissement. L’afflux des capitaux en Russie bat le record pour la deuxième année consécutive. A ce propos on peut dire qu’il est capital pour nous de voir plus clair sur place dans les perspectives de la croissance de l’économie russe.
Depuis l’an dernier les discussions au forum portent aussi sur des dossiers économiques globaux, comme par exemple, les perspectives de croissance dans des pays émergents — le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine. Il nous importe de comprendre sur quels points nous perdons en concurrence et sur quels autres nous avons des avantages. Le forum de Saint-Pétersbourg est un événement emblématique. Et je pense que nous allons l’utiliser toujours plus comme une place pareille à Davos, a estimé l’homme d’affaire russe en vue.
La Russie est passée par des transformations profondes et amorce un stade de modernisation, a déclaré à la veille du Forum le ministre russe du Développement économique et du Commerce Guerman Gref. On ne peut la réussir, que si l’économie est ouverte aux placements de capitaux étrangers, si le climat est favorable à l’investissement, si les droits de propriété sont garantis. Toutes les actions du gouvernement de Russie tendent à réunir ces conditions fondamentales, a relevé le ministre.
Il s’agit de transformer le Forum de Saint-Pétersbourg en un centre d’attraction vers la Russie. La discussion des problèmes russes va désormais se dérouler en Russie, et non comme c’était souvent le cas, sur les rives de la Tamise ou en montagne en Suisse. C’est essentiel, car nous n’avons plus à prouver que chez nous tout va bien. Le marché boursier russe démontre une forte dynamique, un attrait. Ici sont réalisés de gros projets d’investissement. L’afflux des capitaux en Russie bat le record pour la deuxième année consécutive. A ce propos on peut dire qu’il est capital pour nous de voir plus clair sur place dans les perspectives de la croissance de l’économie russe.
Depuis l’an dernier les discussions au forum portent aussi sur des dossiers économiques globaux, comme par exemple, les perspectives de croissance dans des pays émergents — le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine. Il nous importe de comprendre sur quels points nous perdons en concurrence et sur quels autres nous avons des avantages. Le forum de Saint-Pétersbourg est un événement emblématique. Et je pense que nous allons l’utiliser toujours plus comme une place pareille à Davos, a estimé l’homme d’affaire russe en vue.
La Russie est passée par des transformations profondes et amorce un stade de modernisation, a déclaré à la veille du Forum le ministre russe du Développement économique et du Commerce Guerman Gref. On ne peut la réussir, que si l’économie est ouverte aux placements de capitaux étrangers, si le climat est favorable à l’investissement, si les droits de propriété sont garantis. Toutes les actions du gouvernement de Russie tendent à réunir ces conditions fondamentales, a relevé le ministre.