Le 62e anniversaire de la Grande Victoire sur le fascisme, célébré en Russie le 9 mai est tout proche. A la veille de la fête, on en voit des signes partout : des affiches dans les rues, l’abondance de films et d’émissions sur la Grande Guerre Patriotique
Récemment, un nouveau signe est apparu : le ruban noir et orange. A la veille de cette date, des centaines de bénévoles sont sortis dans les rues des villes russes pour distribuer à tous ceux qui n’ont pas oublié l’exploit des soldats de la coalition antihitlérienne « le ruban de Saint-Georges ». Ce symbole de la victoire a les couleurs de l’ordre de Saint-Georges, une décoration très appréciée en Russie avant 1917. Le noir et l’orange symbolisent la fumée et le feu des batailles. L’ordre était décerné pour les exploits militaires. En 2005, cette action se déroulait à Moscou uniquement, mais en ce moment elle s’est étendue sur tout le pays. Les organisateurs reçoivent des demandes de nos compatriotes à l’étranger qui veulent aussi y participer. Pour les millions des gens, c’est une façon de montrer leur attitude vis-à-vis de l’histoire. Les gens se rappellent la Grande Victoire et ceux qui ont sacrifié leurs vies, dit le directeur de l’Institut de l’histoire universelle Andreï Sakharov.
Jamais notre pays n’a connu de situation aussi critique que pendant la Grande Guerre Patriotique. La vieille génération part, les anciens combattants sont de moins en moins nombreux, les jeunes arrivent – ils ne savent pas ce qu’était la guerre contre le fascisme. Mais je pense que le souffle historique de cette énorme tragédie est génétique pour la Russie. Il ne sera jamais oublié. C’est très bien que les jeunes célèbrent cette fête avec les anciens combattants – ils vont transmettre ce sentiment à leurs enfants et petits-enfants. Je dirais que le 9 mai est une fête sacrée, une fête vraiment nationale.
Récemment, un nouveau signe est apparu : le ruban noir et orange. A la veille de cette date, des centaines de bénévoles sont sortis dans les rues des villes russes pour distribuer à tous ceux qui n’ont pas oublié l’exploit des soldats de la coalition antihitlérienne « le ruban de Saint-Georges ». Ce symbole de la victoire a les couleurs de l’ordre de Saint-Georges, une décoration très appréciée en Russie avant 1917. Le noir et l’orange symbolisent la fumée et le feu des batailles. L’ordre était décerné pour les exploits militaires. En 2005, cette action se déroulait à Moscou uniquement, mais en ce moment elle s’est étendue sur tout le pays. Les organisateurs reçoivent des demandes de nos compatriotes à l’étranger qui veulent aussi y participer. Pour les millions des gens, c’est une façon de montrer leur attitude vis-à-vis de l’histoire. Les gens se rappellent la Grande Victoire et ceux qui ont sacrifié leurs vies, dit le directeur de l’Institut de l’histoire universelle Andreï Sakharov.
Jamais notre pays n’a connu de situation aussi critique que pendant la Grande Guerre Patriotique. La vieille génération part, les anciens combattants sont de moins en moins nombreux, les jeunes arrivent – ils ne savent pas ce qu’était la guerre contre le fascisme. Mais je pense que le souffle historique de cette énorme tragédie est génétique pour la Russie. Il ne sera jamais oublié. C’est très bien que les jeunes célèbrent cette fête avec les anciens combattants – ils vont transmettre ce sentiment à leurs enfants et petits-enfants. Je dirais que le 9 mai est une fête sacrée, une fête vraiment nationale.
Traditionnellement, une parade militaire sur la Place Rouge ouvre la fête. Le soir, il y a les feux d’artifice. On promet que cette année à Moscou les feux d’artifice seront particulièrement jolis.
