Moscou attend d’Israël la protection des droits des citoyens russes (femmes et enfants des Palestiniens) sur les territoires palestiniens – en Cisjordanie et dans la bande de Gaza. La Russie compte que Tel-Aviv tiendra ses promesses de régler le statut juridique des Russes résidant en Palestine, dit le commentaire du MAE de Russie paru mercredi.
C’est une nouvelle tentative des autorités russes de régler les difficultés que connaissent les Russes en Palestine avec l’aide d’Israël. Des publications dans la presse russes font remonter à la surface ce problème. Plus de trois milliers de femmes russes qui ont quitté la Russie avec leurs maris palestiniens se sont retrouvées des otages du conflit israélo-palestinien. Mais le plus grand problème pour ces femmes, ce n’est pas le mouvement le HAMAS ou le jihad. Chacune d’elles sait que si elle part en Russie voir ses parents elle ne pourra pas revenir chez son mari et ses enfants. Oxana Dagoudi habite en Palestine depuis de longues années avec ce sentiment :
C’est terrible. Ce n’est même pas une île. Je me sens comme dans une prison, surtout lorsque le conflit s’aggrave, pendant la guerre. Je me sentais prisonnière, avoue Oxana Dagoudi.
Les Russes vivent dans un état de siège. Prétextant uns situation politique et militaire tendue, les autorités israéliennes ne leur donnent pas la carte de résident, ne délivrent pas de visas qui leur permettraient d’enter et sortir librement. Julia Changdouli, psychologue de formation, après de longues années de séparation, est partie malgré tout à Saint-Pétersbourg pour monter aux grands-parents leur petit-fils né dans la bande de Gaza. Alors que son deuxième enfant se trouvait dans un hôpital palestinien, elle a pris d’assaut un point de passage entre l’Egypte et la bande de Gaza, avec un enfant dans ses bras.
C’est une nouvelle tentative des autorités russes de régler les difficultés que connaissent les Russes en Palestine avec l’aide d’Israël. Des publications dans la presse russes font remonter à la surface ce problème. Plus de trois milliers de femmes russes qui ont quitté la Russie avec leurs maris palestiniens se sont retrouvées des otages du conflit israélo-palestinien. Mais le plus grand problème pour ces femmes, ce n’est pas le mouvement le HAMAS ou le jihad. Chacune d’elles sait que si elle part en Russie voir ses parents elle ne pourra pas revenir chez son mari et ses enfants. Oxana Dagoudi habite en Palestine depuis de longues années avec ce sentiment :
C’est terrible. Ce n’est même pas une île. Je me sens comme dans une prison, surtout lorsque le conflit s’aggrave, pendant la guerre. Je me sentais prisonnière, avoue Oxana Dagoudi.
Les Russes vivent dans un état de siège. Prétextant uns situation politique et militaire tendue, les autorités israéliennes ne leur donnent pas la carte de résident, ne délivrent pas de visas qui leur permettraient d’enter et sortir librement. Julia Changdouli, psychologue de formation, après de longues années de séparation, est partie malgré tout à Saint-Pétersbourg pour monter aux grands-parents leur petit-fils né dans la bande de Gaza. Alors que son deuxième enfant se trouvait dans un hôpital palestinien, elle a pris d’assaut un point de passage entre l’Egypte et la bande de Gaza, avec un enfant dans ses bras.
C’était terrible, vraiment terrible. J’étais prête à me hisser dans un tunnel entre l’Egypte et la bande de Gaza. Mon mari s’est entretenu à ce sujet. On demandait 4 mille dollars. Mais c’est très dangereux. Les Palestiniens font eux-mêmes ces tunnels, longs de 8 mètres. Le sable peut s’affaisser sur la tête à tout moment. Il fallait traverser deux cent mètres en rampant.
La question du statut des citoyens russes dans les territoires palestiniens est souvent soulevée par Moscou devant Israël. Malgré tous les efforts, celui-ci continue d’affirmer que le règlement de ce problème n’est possible qu’une fois la situation dans la région stabilisée. Une telle explication n’arrange pas les milliers de Russes et plusieurs dizaines de milliers de citoyens d’autres pays qui se sont retrouvés en Palestine en qualité de gens sans droits.
La question du statut des citoyens russes dans les territoires palestiniens est souvent soulevée par Moscou devant Israël. Malgré tous les efforts, celui-ci continue d’affirmer que le règlement de ce problème n’est possible qu’une fois la situation dans la région stabilisée. Une telle explication n’arrange pas les milliers de Russes et plusieurs dizaines de milliers de citoyens d’autres pays qui se sont retrouvés en Palestine en qualité de gens sans droits.