Le ministre du Développement économique et du Commerce de Russie Guerman Gref compte que la Communauté économique eurasienne (CEE) sera au nombre des dix organisations d’intégration les plus importantes du monde. C’est ce que le ministre a déclaré, en ouvrant dans la capitale du Tatarstan, Kazan, la quatrième réunion du Conseil pour la politique économique et financière de ce groupe de pays.
La Communauté économique eurasienne comprend en ce moment la Biélorussie, le Kazakhstan, la Kirghizie, la Russie, le Tadjikistan et l’Ouzbékistan. L’Arménie, la Moldavie et l’Ukraine y ont le statut de pays observateur. C’est-à-dire que 9 des 12 pays de la Communauté d’Etats Indépendants (CEI) participent d’une manière ou d’une autre aux activités de cette organisation. Voici ce qu’a dit à ce sujet dans le cadre de notre programme « Vis-à-vis du monde » le vice-Premier ministre de Russie Sergueï Narychkine.
Le principe de l’intégration à plusieurs vitesses et à plusieurs niveaux est appliqué avec succès dans l’espace de la CEI. Divers pays membres ont droit de se joindre, au besoin, à des processus et des projets d’intégration à des moments de leur choix. Et à ce propos il convient de mentionner, en premier lieu, la CEE qui a déjà enregistré quelques progrès. D’abord, on voit fonctionner à plein la zone de libres échanges. Les procédures douanières aux frontières intérieures ont été simplifiées. Une entente existe pour ce qui est des approches de la formation d’un tarif douanier unique. Ont été réglées les questions touchant une meilleure interaction des monnaies nationales dans le cadre de la CEE. Un travail est accompli en vue de créer une Union douanière, qui embrassera à une première étape trois Etats membres de la CEE – La Russie, le Kazakhstan et la Biélorussie, a dit le vice-Premier ministre.
Comme l’a dit à Kazan le secrétaire général de la CEE Grigori Rapota, ces Etats ont considérablement progressé en matière de concertation des documents liés à l’Union douanière, qui va permettre une libre circulation des marchandises et des services entre eux. Mais la porte reste ouverte à tous les autres participants à la CEE et à l’Ukraine aussi dans le cadre des ententes sur un Espace économique commun. Bien entendu, quand l’Ukraine y sera prête. A part cela, les participants à la réunion dans la capitale du Tatarstan ont parlé d’autres sujets clés de leur intégration. Il était, notamment, question d’exploiter plus efficacement en commun les ressources énergétiques. Les ministres ont aussi échangé leurs opinions sur les grandes tendances de l’essor des économies nationales à moyen terme.
La Communauté économique eurasienne comprend en ce moment la Biélorussie, le Kazakhstan, la Kirghizie, la Russie, le Tadjikistan et l’Ouzbékistan. L’Arménie, la Moldavie et l’Ukraine y ont le statut de pays observateur. C’est-à-dire que 9 des 12 pays de la Communauté d’Etats Indépendants (CEI) participent d’une manière ou d’une autre aux activités de cette organisation. Voici ce qu’a dit à ce sujet dans le cadre de notre programme « Vis-à-vis du monde » le vice-Premier ministre de Russie Sergueï Narychkine.
Le principe de l’intégration à plusieurs vitesses et à plusieurs niveaux est appliqué avec succès dans l’espace de la CEI. Divers pays membres ont droit de se joindre, au besoin, à des processus et des projets d’intégration à des moments de leur choix. Et à ce propos il convient de mentionner, en premier lieu, la CEE qui a déjà enregistré quelques progrès. D’abord, on voit fonctionner à plein la zone de libres échanges. Les procédures douanières aux frontières intérieures ont été simplifiées. Une entente existe pour ce qui est des approches de la formation d’un tarif douanier unique. Ont été réglées les questions touchant une meilleure interaction des monnaies nationales dans le cadre de la CEE. Un travail est accompli en vue de créer une Union douanière, qui embrassera à une première étape trois Etats membres de la CEE – La Russie, le Kazakhstan et la Biélorussie, a dit le vice-Premier ministre.
Comme l’a dit à Kazan le secrétaire général de la CEE Grigori Rapota, ces Etats ont considérablement progressé en matière de concertation des documents liés à l’Union douanière, qui va permettre une libre circulation des marchandises et des services entre eux. Mais la porte reste ouverte à tous les autres participants à la CEE et à l’Ukraine aussi dans le cadre des ententes sur un Espace économique commun. Bien entendu, quand l’Ukraine y sera prête. A part cela, les participants à la réunion dans la capitale du Tatarstan ont parlé d’autres sujets clés de leur intégration. Il était, notamment, question d’exploiter plus efficacement en commun les ressources énergétiques. Les ministres ont aussi échangé leurs opinions sur les grandes tendances de l’essor des économies nationales à moyen terme.
