Le 15 mars, la Russie, la Bulgarie et la Grèce ont signé un accord qui marque le départ de la réalisation du projet d'oléoduc Burgas-Alexandroúpolis. Il coûtera près d’un million d’euros. C’était l’événement principal de la visite du président Vladimir Poutine dans la capitale grecque.
Le chef de l’état russe a déclaré lors d’une conférence de presse que la coopération énergétique entre les trois parties ouvrait de nouvelles possibilités pour créer d'importants centres régionaux de transit de produits énergétiques russes vers les marchés européens et mondiaux.
Vladimir Poutine estime que la conduite " favorisera le développement du secteur énergétique ", ce qui contribuera à diversifier et à accroître les livraisons des ressources énergétiques russes sur le marché mondial ". Il ne s’agit pas de réorienter les flux pétroliers existants. Le pétrole qui sera canalisé par le nouvel oléoduc sera différent, non seulement russe mais celui des autres pays, qui transite par le territoire russe, a déclaré le président de Russie.
Le chef de l’état russe a déclaré lors d’une conférence de presse que la coopération énergétique entre les trois parties ouvrait de nouvelles possibilités pour créer d'importants centres régionaux de transit de produits énergétiques russes vers les marchés européens et mondiaux.
Vladimir Poutine estime que la conduite " favorisera le développement du secteur énergétique ", ce qui contribuera à diversifier et à accroître les livraisons des ressources énergétiques russes sur le marché mondial ". Il ne s’agit pas de réorienter les flux pétroliers existants. Le pétrole qui sera canalisé par le nouvel oléoduc sera différent, non seulement russe mais celui des autres pays, qui transite par le territoire russe, a déclaré le président de Russie.
Il a souligné que l’oléoduc transbalkanique indiquait la voie magistrale du développement de l’interaction multilatérale ce qui est dans les intérêts de tous les pays de la région et du continent européen.
A son tour, le Premier ministre grec, Constantinos Karamanlis a traité d’historique la signature du projet sur l'oléoduc Burgas-Alexandroúpolis. Selon lui, il s’agit d’un nouveau jalon pour les futures actions. Cela permettra de créer un itinéraire complémentaire, une alternative aux détroits de la Mer Noire, déjà surchargés, de renforcer la sécurité écologique.
A son tour, le Premier ministre grec, Constantinos Karamanlis a traité d’historique la signature du projet sur l'oléoduc Burgas-Alexandroúpolis. Selon lui, il s’agit d’un nouveau jalon pour les futures actions. Cela permettra de créer un itinéraire complémentaire, une alternative aux détroits de la Mer Noire, déjà surchargés, de renforcer la sécurité écologique.
