"C'est un document très important", a-t-il affirmé lors d'une conférence de presse.
M. Kirienko a signalé que la Russie ne prévoyait pas de construire une centrale nucléaire en Italie, mais qu'elle coopérerait avec ce pays pour la construction de centrales nucléaires dans les pays tiers. "La compagnie Enel possède des réseaux slovaques, c'est pourquoi il est avant tout question de centrales en Slovaquie", a-t-il expliqué.
Sergueï Kirienko a également souligné que le mémorandum prévoyait une coopération dans la construction d'appareils mécaniques, ainsi que dans d'autres domaines.
La veille, le directeur de la compagnie italienne Fulvio Conti a déclaré qu'Enel comptait "devenir un opérateur clé" de la construction et de la modernisation de centrales nucléaires russes.
"C'est une chance unique pour Enel, pour l'Italie, et pour toute notre industrie. La Russie est pour nous un marché immense de par sa puissance de production, et de par le fait qu'elle dispose de toutes les technologies, du nucléaire jusqu'à l'hydroélectrique", a assuré M. Conti, commentant la signature du mémorandum avec Rosatom.
