Il n’y a pas de raisons pour la crise sur le marché financier russe. Il subit une correction au moment où les actions dans les bourses asiatiques sont en baisse, mais cela ne se répercutera pas sur l’économie de Russie, a déclaré le ministre du développement économique et du commerce Guerman Gref à Singapour. Notre observateur Konstantin Garibov suit la situation sur les marchés de valeurs du monde.
Lundi, sur le marché russe il y a eu une chute des cotations qui ont atteint le niveau minimal. Pourtant, les analystes russes n’ont pas tendance à dramatiser la situation. Les investisseurs voient que le marché russe est lié au marché chinois. Les économies des deux pays sont en période de montée vertigineuse d’investissements. Les OPA sont en hausse. Mais la chute des marchés des titres mondiaux ne passe sans aucun doute pas inaperçue en Russie. Mais il s’agit d’une répercussion indirecte de la chute en Chine, trouve l’expert de l’académie des finances auprès du gouvernement de Russie Boris Roubtsov.
Le marché boursier chinois a augmenté de 120% au cours de l’année passée, ce qui est absolument anormal. Il était trop gonflé. Sur le marché chinois, de petits investisseurs sont dominants, à la différence du marché russe où les investisseurs étrangers occupent des positions principales. Il s’agit des compagnies qui font des investissements globaux, ils sont intéressés par des marchés émergeants, chinois entre autres. Après la chute du marché chinois, ils entreprennent des démarches pour retirer une partie des fonds des autres marchés dont celui de Russie. Les fluctuations du marché russe s’expliquent par une influence indirecte du marché chinois, trouve Boris Roubtsov.
Lundi, sur le marché russe il y a eu une chute des cotations qui ont atteint le niveau minimal. Pourtant, les analystes russes n’ont pas tendance à dramatiser la situation. Les investisseurs voient que le marché russe est lié au marché chinois. Les économies des deux pays sont en période de montée vertigineuse d’investissements. Les OPA sont en hausse. Mais la chute des marchés des titres mondiaux ne passe sans aucun doute pas inaperçue en Russie. Mais il s’agit d’une répercussion indirecte de la chute en Chine, trouve l’expert de l’académie des finances auprès du gouvernement de Russie Boris Roubtsov.
Le marché boursier chinois a augmenté de 120% au cours de l’année passée, ce qui est absolument anormal. Il était trop gonflé. Sur le marché chinois, de petits investisseurs sont dominants, à la différence du marché russe où les investisseurs étrangers occupent des positions principales. Il s’agit des compagnies qui font des investissements globaux, ils sont intéressés par des marchés émergeants, chinois entre autres. Après la chute du marché chinois, ils entreprennent des démarches pour retirer une partie des fonds des autres marchés dont celui de Russie. Les fluctuations du marché russe s’expliquent par une influence indirecte du marché chinois, trouve Boris Roubtsov.
Ce n’est pas par hasard que les analystes russes évoquent une correction et non une crise sur le marché. Selon le ministre russe du Commerce et du Développement Economique Guerman Gref, peu d’investisseurs se mettront à vendre les valeurs russes. Il n’y a pas de raisons de s’en défaire d’autant plus qu’en période de baisse sur les marchés mondiaux, les nouveaux investissements sont risqués.
En plus, pour différentes raisons, le marché des valeurs en Russie est sous-estimé. Le marché attend de nouvelles OPA des grandes banques russes et de corporations industrielles. La Russie est en situation macroéconomique saine. Ces facteurs feront de sorte que la crise ne va pas trop durer et ses suites seront moins douloureuses.
En plus, pour différentes raisons, le marché des valeurs en Russie est sous-estimé. Le marché attend de nouvelles OPA des grandes banques russes et de corporations industrielles. La Russie est en situation macroéconomique saine. Ces facteurs feront de sorte que la crise ne va pas trop durer et ses suites seront moins douloureuses.
