"Il n'y a aucune raison pour que ces phénomènes se transforment en crise en Russie", a déclaré le ministre dans un entretien avec les journalistes lundi à Singapour, donnant son avis sur la situation sur les bourses. Lundi, les plus grandes places européennes et américaines ont reculé à l'ouverture après un nouvel effondrement des indices asiatiques.
"Il n'y a aucun motif de se débarrasser des titres russes", a-t-il souligné.
Mais, a poursuivi le ministre, la Russie fait partie du système financier mondial et on peut dès à présent prédire que "nous poursuivrons cette tendance mais avec une chute d'une moindre profondeur".
Il convient également de noter que la Russie n'est en aucune manière à l'origine de la baisse actuelle des marchés, a ajouté M. Gref.
Jeudi, le ministre prendra part au Deuxième forum d'affaires Russie-Singapour.