Le président de Russie a appelé l’observation des ententes inter-palestiniennes la condition essentielle de reprise du processus de paix au Proche-Orient. Vladimir Poutine l’a déclaré mardi à sa rencontre avec le chef de l’Autorité palestinienne Mahmud Abbas. Elle a eu lieu dans l’aéroport d’Amman au cours de la visite de M.Poutine en Jordanie. Le thème palestinien a été l’un des principaux aussi à ses pourparlers avec des dirigeants d’Arabie Saoudite et du Qatar.
Au cours de ce voyage de travail tous les entretiens avec nos partenaires commençaient par le problème palestinien et pratiquement toujours se terminaient par lui.
Les ententes évoquées par M.Poutine ont été conclues la semaine dernière par Mahmud Abbas et le chef du mouvement radical HAMAS Haled Méchaal. Le résultat principal de leurs pourparlers a été la décision de former un gouvernement de l’unité nationale. Ceci a créé des conditions pour mettre fin à la crise dans les rapports entre le FATAH et le HAMAS, qui a formé le Cabinet suite à sa victoire aux élections. Ces dernières semaines cette crise a dégénéré en affrontements armés entre les militants de deux plus importantes forces politiques en Palestine. Les contradictions entre elles et le refus du HAMAS de reconnaître l’Etat hébreu ont stoppé le processus de paix au Proche-Orient. Et voilà que de bonnes chances existent d’améliorer la situation. Le chef de l’Autorité palestinienne a informé M.Poutine de la démission du Cabinet en place dans les jours prochains et de la formation par le Premier ministre d’un gouvernement d’union.
Au cours de ce voyage de travail tous les entretiens avec nos partenaires commençaient par le problème palestinien et pratiquement toujours se terminaient par lui.
Les ententes évoquées par M.Poutine ont été conclues la semaine dernière par Mahmud Abbas et le chef du mouvement radical HAMAS Haled Méchaal. Le résultat principal de leurs pourparlers a été la décision de former un gouvernement de l’unité nationale. Ceci a créé des conditions pour mettre fin à la crise dans les rapports entre le FATAH et le HAMAS, qui a formé le Cabinet suite à sa victoire aux élections. Ces dernières semaines cette crise a dégénéré en affrontements armés entre les militants de deux plus importantes forces politiques en Palestine. Les contradictions entre elles et le refus du HAMAS de reconnaître l’Etat hébreu ont stoppé le processus de paix au Proche-Orient. Et voilà que de bonnes chances existent d’améliorer la situation. Le chef de l’Autorité palestinienne a informé M.Poutine de la démission du Cabinet en place dans les jours prochains et de la formation par le Premier ministre d’un gouvernement d’union.
La libération par la partie palestinienne du soldat israélien enlevé a été mentionné par M.Poutine comme une autre condition importante à la reprise du processus de paix.
Quant à la Russie, a relevé M.Poutine, elle poursuivra ses efforts allant dans le sens du règlement au Proche-Orient. « Nous oeuvrons activement dans le cadre du quartette de médiateurs internationaux, a-t-il dit, nous entendons aussi faire appui comme avant sur nos rapports privilégiés avec des pays arabes et la Palestine même ».
Quant à la Russie, a relevé M.Poutine, elle poursuivra ses efforts allant dans le sens du règlement au Proche-Orient. « Nous oeuvrons activement dans le cadre du quartette de médiateurs internationaux, a-t-il dit, nous entendons aussi faire appui comme avant sur nos rapports privilégiés avec des pays arabes et la Palestine même ».
