"C'était un entretien intéressant pour tous les interlocuteurs, et il pourrait être divisé en trois parties", a indiqué le ministre.
La première a porté, selon lui, sur des systèmes généraux : macroéconomique, impôts, réglementation douanière. "La stabilité macroéconomique d'aujourd'hui requiert des ajustements précis garantissant le développement économique fondé sur l'innovation", a expliqué M. Khristenko.
La deuxième partie de cet entretien a été consacrée à des branches précises, par exemple, la branche forestière et la troisième aux gros projets dans lesquels une répartition des risques entre le public et le privé est nécessaire.
A titre d'exemple de ce partenariat entre l'Etat et le secteur privé, M. Khristenko a cité l'ensemble pétrochimique de Nijnekamsk, au Tatarstan, destiné à assurer un raffinage profond de pétrole.
De tels projets de partenariat public-privé doivent être réalisés dans d'autres secteurs, dont le bois et le gaz, a encore indiqué M. Khristenko.