"Nous n'avons pas l'intention de rivaliser avec tel ou tel Etat dans telle ou telle région", a-t-il indiqué, répondant à la question de savoir si cette intensification des contacts s'expliquait par la présence politique et militaire des Etats-Unis dans la région.
"Nos relations avec les pays de cette région ont historiquement été très fortes, et elles sont sur le point d'acquérir une dimension qualitativement nouvelle. Nous ressentons de l'intérêt de la part des milieux d'affaires", a estimé le chef de l'Etat, à une semaine d'une tournée internationale qui le conduira au Qatar, en Arabie saoudite et en Jordanie.
Les positions de la Russie et des pays du Golfe persique sont "très proches ou identiques" sur beaucoup de grands problèmes internationaux, a-t-il indiqué.