Le refus de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (l’APCE) d’accepter l’indépendance du pays serbe le Kosovo sous certaines conditions est une grande victoire de Russie, croit le vice-chef de la délégation russe Leonid Slutski.
L’APCE dont la session se déroule en ce moment à Strasbourg a rejeté la proposition du porte-parole de Grande-Bretagne lord Russel-Johnson sur l’octroi de l’indépendance au Kosovo peuplé actuellement par une majorité albanaise. Les députés européens ont reconnu l’appel de la délégation russe et ils ont accepté le fait que cette question devait plutôt être examinée dans le cadre de l’ONU. Les parlementaires russes trouvent que l’indépendance du Kosovo peut amener à un déséquilibre sur les Balkans et à une escalade éventuelle des conflits analogiques dans le monde. Après avoir rencontré la chancelière allemande Angela Merkel, le président russe Vladimir Poutine a dit là-dessus :
Les problèmes des relations internationales actuelles résident en ce que nous voyons de plus en plus souvent le non-respect des principes de base de loi internationale. Cela est vrai aussi pour le Kosovo. Si nous prenons une solution sur le Kosovo, il est naturel qu’elle doive s’appliquer aussi pour des cas pareils. Si nous négligeons un problème ou le principe d’intégrité territoriale de l’état et nous nous en lavons les mains en refusant de faire quoi que ce soit pour rétablir cette intégrité territoriale, en l’occurrence, de Serbie, d’autres peuples ont le droit de dire la même chose, a souligné le président russe.
Assurément, la décision de l’APCE s’explique par le résultat des législatives anticipées en Serbie. Le parti radical qui s’oppose vivement à l’indépendance du Kosovo y a eu le dessus.
L’APCE dont la session se déroule en ce moment à Strasbourg a rejeté la proposition du porte-parole de Grande-Bretagne lord Russel-Johnson sur l’octroi de l’indépendance au Kosovo peuplé actuellement par une majorité albanaise. Les députés européens ont reconnu l’appel de la délégation russe et ils ont accepté le fait que cette question devait plutôt être examinée dans le cadre de l’ONU. Les parlementaires russes trouvent que l’indépendance du Kosovo peut amener à un déséquilibre sur les Balkans et à une escalade éventuelle des conflits analogiques dans le monde. Après avoir rencontré la chancelière allemande Angela Merkel, le président russe Vladimir Poutine a dit là-dessus :
Les problèmes des relations internationales actuelles résident en ce que nous voyons de plus en plus souvent le non-respect des principes de base de loi internationale. Cela est vrai aussi pour le Kosovo. Si nous prenons une solution sur le Kosovo, il est naturel qu’elle doive s’appliquer aussi pour des cas pareils. Si nous négligeons un problème ou le principe d’intégrité territoriale de l’état et nous nous en lavons les mains en refusant de faire quoi que ce soit pour rétablir cette intégrité territoriale, en l’occurrence, de Serbie, d’autres peuples ont le droit de dire la même chose, a souligné le président russe.
Assurément, la décision de l’APCE s’explique par le résultat des législatives anticipées en Serbie. Le parti radical qui s’oppose vivement à l’indépendance du Kosovo y a eu le dessus.