Les préparatifs du prochain sommet de l’Organisation de coopération de Shanghai figurent au centre des discussions des coordinateurs nationaux à Pékin. Nous examinerons les documents de la prochaine rencontre des leaders des pays-membres, qui aura lieu cet été à Bichkek, capitale de la Kirghizie, a déclaré le représentant de la Russie Léonide Moisséev.
L’Organisation de coopération de Shanghai regroupe 6 pays – le Kazakhstan, la Kirghizie, la Chine, la Russie, le Tadjikistan et l’Ouzbékistan. L’Inde, l’Iran, la Mongolie et le Pakistan y ont un statut d’observateurs. L’Afghanistan, dépourvu pour le moment de ce statut, prend également part à ses activités. Les rencontres aux niveaux d’experts, de ministres et de chefs d’Etat, prévues pour cette année, devraient permettre à l’Organisation de faire une percée vers le marché commun régional. La libéralisation du commerce de certains produits y marquera probablement un premier pas, qui sera suivi par la création de zones de libre-échange. Bref, il est possible de créer en Asie centrale un mécanisme de marché, ce qui contribuera à l’élévation du niveau de vie de ses habitants. Ecoutons le politologue Ajdar Kurtov, de l’Institut des pays de la CEI.
L’Organisation de coopération de Shanghai se développe de façon dynamique. Elle regroupe les principaux pays du continent eurasien, dont deux puissances nucléaires- la Russie et la Chine. Ses membres se distinguent dernièrement par des rythmes élevés de développement, aussi l’Organisation prétend-elle accroître son rôle dans la politique mondiale. Elle a réglé les problèmes frontaliers et abordé l’application de plusieurs projets, notamment la création d’une infrastructure de transport entre l’Europe et l’Asie, traversant les territoires du Kazakhstan et de la Russie. Il me semble, poursuit Ajdar Kurtov, que l’Organisation maintiendra ce développement dynamique durant une période prolongée. Rien n’indique qu’elle risque de traverser des crises graves. Personne n’essaie d’intervenir dans les affaires de personne ( comme le font souvent les Etats-Unis), ce qui fait que cette coopération a toutes les chances de s’étendre.
L’Organisation de coopération de Shanghai regroupe 6 pays – le Kazakhstan, la Kirghizie, la Chine, la Russie, le Tadjikistan et l’Ouzbékistan. L’Inde, l’Iran, la Mongolie et le Pakistan y ont un statut d’observateurs. L’Afghanistan, dépourvu pour le moment de ce statut, prend également part à ses activités. Les rencontres aux niveaux d’experts, de ministres et de chefs d’Etat, prévues pour cette année, devraient permettre à l’Organisation de faire une percée vers le marché commun régional. La libéralisation du commerce de certains produits y marquera probablement un premier pas, qui sera suivi par la création de zones de libre-échange. Bref, il est possible de créer en Asie centrale un mécanisme de marché, ce qui contribuera à l’élévation du niveau de vie de ses habitants. Ecoutons le politologue Ajdar Kurtov, de l’Institut des pays de la CEI.
L’Organisation de coopération de Shanghai se développe de façon dynamique. Elle regroupe les principaux pays du continent eurasien, dont deux puissances nucléaires- la Russie et la Chine. Ses membres se distinguent dernièrement par des rythmes élevés de développement, aussi l’Organisation prétend-elle accroître son rôle dans la politique mondiale. Elle a réglé les problèmes frontaliers et abordé l’application de plusieurs projets, notamment la création d’une infrastructure de transport entre l’Europe et l’Asie, traversant les territoires du Kazakhstan et de la Russie. Il me semble, poursuit Ajdar Kurtov, que l’Organisation maintiendra ce développement dynamique durant une période prolongée. Rien n’indique qu’elle risque de traverser des crises graves. Personne n’essaie d’intervenir dans les affaires de personne ( comme le font souvent les Etats-Unis), ce qui fait que cette coopération a toutes les chances de s’étendre.
Si l’Organisation de coopération de Shanghai éprouve quelques difficultés c’est à cause des différents niveaux de développement de ses membres. Mais quelles que soient les difficultés objectives, l’Asie centrale à toutes les chances de devenir dans le futur un puissant centre économique du monde. A part le marché commun, il s’agit de créer un Club énergétique et une stratégie énergétique asiatique. L’offensive doit se poursuivre sur tout le front pour que le mécanisme économique de l’Organisation n’ait pas de ratés.
