Le président de Russie Vladimir Poutine a avancé des initiatives visant à renforcer la sécurité énergétique internationale. Elles ont été diffusées à Sotchi dimanche à la rencontre avec la chancelière allemande Angela Merkel. La réalisation de ces propositions augmentera la fiabilité des livraisons du gaz russe en Europe et élargira les possibilités de l’exportation du pétrole dans les pays de la région Asie-Pacifique, note notre observateur politique Konstantin Garibov.
Une des propositions de Russie est que l’Allemagne devienne un des centres de distribution du gaz en Europe. Pour cela, la Russie est prête à créer avec des partenaires allemands un dépôt de gaz dans ce pays. Ce projet est une sorte de réponse aux risques du transit survenus sur le territoire ukrainien et biélorusse. Un passage aux relations de marché claires et transparentes avec tous les partenaires et pays-transitaires permettra d’éviter ces risques, a noté Vladimir Poutine.
Autrefois, il n’y avait aucun problème pour transporter nos hydrocarbures sur le territoire de Russie et des pays du Traité de Varsovie. Aujourd’hui, la situation a changé. Nous voulons coopérer avec les pays-transitaires à base des principes d’interaction sans tenir compte de la conjoncture — politique ou autre. C’est pourquoi nous disons à tout le monde : oui au partenariat et à l’interaction, non au parasitage. Les pertes de Russie sont énormes, des milliards de dollars chaque année, car les principes de marché ne sont pas respectés, a dit le président russe.
Une des propositions de Russie est que l’Allemagne devienne un des centres de distribution du gaz en Europe. Pour cela, la Russie est prête à créer avec des partenaires allemands un dépôt de gaz dans ce pays. Ce projet est une sorte de réponse aux risques du transit survenus sur le territoire ukrainien et biélorusse. Un passage aux relations de marché claires et transparentes avec tous les partenaires et pays-transitaires permettra d’éviter ces risques, a noté Vladimir Poutine.
Autrefois, il n’y avait aucun problème pour transporter nos hydrocarbures sur le territoire de Russie et des pays du Traité de Varsovie. Aujourd’hui, la situation a changé. Nous voulons coopérer avec les pays-transitaires à base des principes d’interaction sans tenir compte de la conjoncture — politique ou autre. C’est pourquoi nous disons à tout le monde : oui au partenariat et à l’interaction, non au parasitage. Les pertes de Russie sont énormes, des milliards de dollars chaque année, car les principes de marché ne sont pas respectés, a dit le président russe.
Pour envoyer le pétrole en Europe en direct, la Russie développera un réseau de canalisations, a assuré Poutine. Il s’agit notamment de transportation du pétrole par des pétroliers à travers la Baltique en Europe. En même temps, il a invité la Pologne et la Suède à participer à la construction du gazoduc nord-européen. Comme ces pays sont anxieux au sujet de ce projet, Poutine a noté que la Russie n’avait pas d’objections contre les branches.
Pour la Russie, le marché énergétique de la région Asie-Pacifique sera prioritaire au cours de prochaines années. Vu cette nouvelle situation géopolitique, il a été dit à Sotchi que Moscou avait l’intention d’accélérer la construction des oléoducs vers le Pacifique. La diversification de l’exportation est une des bases de sécurité énergétique de Russie qu’elle entend renforcer, tout en tenant compte des intérêts des importateurs européens et asiatiques.
Pour la Russie, le marché énergétique de la région Asie-Pacifique sera prioritaire au cours de prochaines années. Vu cette nouvelle situation géopolitique, il a été dit à Sotchi que Moscou avait l’intention d’accélérer la construction des oléoducs vers le Pacifique. La diversification de l’exportation est une des bases de sécurité énergétique de Russie qu’elle entend renforcer, tout en tenant compte des intérêts des importateurs européens et asiatiques.
