Les sanctions introduites par le CS de l’ONU contre l’Iran refusant d’observer les résolutions de la communauté mondiale sur l’arrêt de l’enrichissement de l’uranium sont en vigueur pendant la 3ème journée consécutive. Cependant, le problème relatif au programme nucléaire iranien demeure en suspens.
Chaque partie a apprécié à sa manière le contenu des mesures formulées dans le document. Ainsi, selon le chef de la diplomatie russe Serguei Lavrov, la résolution du CS de l’Iran reflète entièrement les intérêts économiques et politiques de la Russie. Lavrov a fait cette déclaration hier au Kremlin à la séance avec la participation du président Vladimir Poutine.
Selon le ministre, il est nécessaire d’équilibrer les trois tâches. Premièrement, prévenir la violation du régime de non-prolifération nucléaire. Deuxièmement, conserver les conditions pour les pourparlers avec l’Iran sur son programme nucléaire. Troisièmement, ne pas porter préjudice pour les liens avec l’Iran dans divers domaines. Certes, la résolution est un compromis mais les trois objectifs sont pris en considération.
Chaque partie a apprécié à sa manière le contenu des mesures formulées dans le document. Ainsi, selon le chef de la diplomatie russe Serguei Lavrov, la résolution du CS de l’Iran reflète entièrement les intérêts économiques et politiques de la Russie. Lavrov a fait cette déclaration hier au Kremlin à la séance avec la participation du président Vladimir Poutine.
Selon le ministre, il est nécessaire d’équilibrer les trois tâches. Premièrement, prévenir la violation du régime de non-prolifération nucléaire. Deuxièmement, conserver les conditions pour les pourparlers avec l’Iran sur son programme nucléaire. Troisièmement, ne pas porter préjudice pour les liens avec l’Iran dans divers domaines. Certes, la résolution est un compromis mais les trois objectifs sont pris en considération.
Rappelons que la Russie a su insister lors de l’élaboration de la résolution du CS de sécurité de l’ONU sur le respect des contrats précédemment conclus avec l’Iran. Cela concerne la construction de la centrale nucléaire à Bushehr ainsi que les livraisons des systèmes de défense à l’Iran. La Russie poursuivra les contacts avec l’Iran dans les domaines ne suscitant pas la préoccupation de l’AIEA. Il est possible que les pourparlers reprennent si l’Iran suspend ses activités dans ces domaines.
Cependant, l’Iran ne considère pas la résolution du CS de l’ONU comme l’invitation à de tels pourparlers. Selon le président iranien Mahmud Ahmadinejad, la résolution du CS de l’ONU adoptée sous la pression des Etats-Unis et de la Grande-Bretagne n’exercera aucune influence sur l’épanouissement de la nation iranienne. Qui plus est, il est décidé en Iran de réviser les relations avec l’AIEA, d’intensifier et de précipiter l’enrichissement de l’uranium entraînant, selon l’Occident, la production des armes nucléaires.
D’après les observateurs, il est possible que l’Iran augmente les prix du pétrole en dressant les obstacles à la navigation dans le Golfe d’Ormuz par lequel est livré un cinquième des hydrocarbures au marché mondial. Pour le prévenir les Etats-Unis et la Grande-Bretagne ont déjà envoyé dans le Golfe deux porte-avions et demandé à l’Arabie saoudite d’influer sur les cotations du pétrole. Qui plus est, les Américains espèrent que la résolution du CS de l’ONU accentuera la lutte politique intérieure en Iran et précipitera la refonte du régime avec le soutien extérieur, bien entendu. On n’envisage pas pour le moment ce qui se produira si les sanctions ont l’effet inverse dans la situation de plus en plus complexe en Iran.
Cependant, l’Iran ne considère pas la résolution du CS de l’ONU comme l’invitation à de tels pourparlers. Selon le président iranien Mahmud Ahmadinejad, la résolution du CS de l’ONU adoptée sous la pression des Etats-Unis et de la Grande-Bretagne n’exercera aucune influence sur l’épanouissement de la nation iranienne. Qui plus est, il est décidé en Iran de réviser les relations avec l’AIEA, d’intensifier et de précipiter l’enrichissement de l’uranium entraînant, selon l’Occident, la production des armes nucléaires.
D’après les observateurs, il est possible que l’Iran augmente les prix du pétrole en dressant les obstacles à la navigation dans le Golfe d’Ormuz par lequel est livré un cinquième des hydrocarbures au marché mondial. Pour le prévenir les Etats-Unis et la Grande-Bretagne ont déjà envoyé dans le Golfe deux porte-avions et demandé à l’Arabie saoudite d’influer sur les cotations du pétrole. Qui plus est, les Américains espèrent que la résolution du CS de l’ONU accentuera la lutte politique intérieure en Iran et précipitera la refonte du régime avec le soutien extérieur, bien entendu. On n’envisage pas pour le moment ce qui se produira si les sanctions ont l’effet inverse dans la situation de plus en plus complexe en Iran.
