"Si le comité créé à l'issue de la conférence sur l'Holocauste tire la conclusion que l'Holocauste n'a en réalité pas existé, les crimes (d'Israël) au Proche-Orient seront privés de tout fondement", a-t-il ajouté.
Mahmoud Ahmadinejad a jugé nécessaire d'étudier l'Holocauste, estimant que cela mettrait fin aux "débats à ce sujet qui durent depuis 60 ans".
"Les gouvernements occidentaux doivent garantir que le travail de ce comité ne sera pas entravé et qu'ils permettront d'effectuer des recherches plus minutieuses sur l'Holocauste, en vue d'éclaircir certaines questions et de condamner les coupables", a expliqué le président Ahmadinejad.
Une conférence internationale de deux jours intitulée "L'Holocauste dans la mémoire transnationale" a pris fin mardi à Téhéran. Elle a rassemblé 67 experts étrangers de 30 pays qui ont mis en doute l'existence de l'Holocauste, ainsi que l'ampleur de l'extermination des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale.