Le sommet Russie-UE s’est terminé à Helsinki n’ayant pas fait de sensations. Les parties ont examiné divers aspects de leurs relations s’étant montrées satisfaites de leur état et perspectives.
Il convient de noter qu’un pas sérieux a été fait dans la formation de 4 espaces communs : dans la sécurité intérieure et extérieure, l’économie et la sphère humanitaire. Le progrès a été enregistré, en particulier, dans la simplification du régime des visas entre l’UE et la Russie. Le président de Russie Vladimir Poutine a dit à une conférence de presse finale que la formation des espaces communes se déroulait activement et systématiquement.
Le problème des relations Russie-UE dans l’aspect du prochain élargissement de l’Union a été examiné au sommet. La Bulgarie et la Roumanie deviendront l’année prochaine membres de l’UE. Selon Poutine, ces pays devraient prendre les engagements établis par l’Accord de partenariat et de coopération Russie-UE de 1997.
Le sommet à Helsinki aurait dû donner le départ aux pourparlers sur le nouvel Accord. Or, cela ne s’est pas produit vu la position de la Pologne. Ce pays a voulu contraindre la Russie à lever l’embargo sur les importations de viande polonaise. Vladimir Poutine a indiqué à une conférence de presse qu’au lieu de la viande polonaise on avait essayé de livrer au marché russe les produits de basse qualité des pays tiers. Le chef de la Commission européenne José Manuel Barroso a partagé l’opinion du président russe ayant dit qu’il ne fallait pas dramatiser la situation autour de l’interdiction des importations de viande en provenance de la Pologne. Selon lui, l’ajournement des pourparlers sur le nouvel accord fondamental Russie-UE ne se répercutera pas sur leurs bonnes relations. Le président de Russie s’est exprimé dans le même esprit :
Il convient de noter qu’un pas sérieux a été fait dans la formation de 4 espaces communs : dans la sécurité intérieure et extérieure, l’économie et la sphère humanitaire. Le progrès a été enregistré, en particulier, dans la simplification du régime des visas entre l’UE et la Russie. Le président de Russie Vladimir Poutine a dit à une conférence de presse finale que la formation des espaces communes se déroulait activement et systématiquement.
Le problème des relations Russie-UE dans l’aspect du prochain élargissement de l’Union a été examiné au sommet. La Bulgarie et la Roumanie deviendront l’année prochaine membres de l’UE. Selon Poutine, ces pays devraient prendre les engagements établis par l’Accord de partenariat et de coopération Russie-UE de 1997.
Le sommet à Helsinki aurait dû donner le départ aux pourparlers sur le nouvel Accord. Or, cela ne s’est pas produit vu la position de la Pologne. Ce pays a voulu contraindre la Russie à lever l’embargo sur les importations de viande polonaise. Vladimir Poutine a indiqué à une conférence de presse qu’au lieu de la viande polonaise on avait essayé de livrer au marché russe les produits de basse qualité des pays tiers. Le chef de la Commission européenne José Manuel Barroso a partagé l’opinion du président russe ayant dit qu’il ne fallait pas dramatiser la situation autour de l’interdiction des importations de viande en provenance de la Pologne. Selon lui, l’ajournement des pourparlers sur le nouvel accord fondamental Russie-UE ne se répercutera pas sur leurs bonnes relations. Le président de Russie s’est exprimé dans le même esprit :
Quoi qu’il en soit, l’ajournement des pourparlers ne se répercutera pas négativement sur l’ensemble des relations Russie-UE fondées sur l’Accord de partenariat et de coopération en vigueur que nous pouvons proroger tous les ans, a rappelé Vladimir Poutine.
Les délégués au sommet à Helsinki ont accordé une grande attention au partenariat énergétique. Le premier ministre finlandais Matti Vanhanen a dit à une conférence de presse que les deux parties étaient prêtes à élever le niveau du partenariat.
Les participants aux pourparlers ont abordé, en outre, le problème des droits de l’homme et la composante humanitaire de la coopération Russie-UE. La délégation russe a évoqué la condition bizarre des russophones dans certains pays Baltes. Nous espérons, a indiqué Poutine, que la dynamique du changement de la situation dans ce domaine sera perceptible.
Il a été question à la conférence de presse donnée à l’issue des pourparlers de la mort à Londres de l’ancien collaborateur du FSB russe Alexandre Litvinenko ayant obtenu l’asile politique en Grande-Bretagne. Le leader russe a souligné que les médecins britanniques n’avaient pas indiqué une mort violente de Litvinenko. Il a regretté que les événements tragiques servent de prétexte pour des provocations politiques.