Dressée par le député communiste Iouli Kvitsinski, une instruction appropriée a été déposée au comité international chargé des interpellations.
Président du Parti radical et ex-candidat à la présidence serbe, Vojislav Seselj a entamé une grève de la faim exigeant la levée de plusieurs restrictions imposées par le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie.
M. Seselj se plaint qu'on lui impose des avocats d'office, qu'il ne reçoive pas les traductions en serbe des documents judiciaires et des actes d'accusation, que ses conseillers juridiques ne soient pas enregistrés, qu'il soit privé de possibilité de se préparer normalement à la défense et que le tribunal impose des restrictions non justifiées sur les visites de sa femme en prison.
