"Une réponse a été donnée à notre politique nette et efficace d'évincement des succédanés. Et avant tout de la part de ceux qui se livrent à la vente d'alcools techniques à des fins alimentaires au sein de la partie marginale de notre société. D'autre part, je n'exclus pas l'implication des producteurs des vins falsifiés qui étaient tout récemment importés dans notre pays depuis les pays que vous connaissez", a indiqué le chef des services sanitaires russes interrogé par le journal télévisé Vesti.
Répondant à une question lui demandant de préciser son point de vue, il a expliqué qu'il s'agissait des deux pays "d'où nous importions 40% de prétendus vins".
Le 27 mars, la Russie a interdit les importations de vin géorgien et moldave suite à des infractions massives aux normes sanitaires. Selon les services sanitaires russes, des métaux lourds et des pesticides y ont été découverts.