"La Russie et l'OTAN sont confrontées à des risques stratégiques de taille, dont la lutte contre le terrorisme, la gestion des crises, la défense antimissile de théâtre, la réforme militaire et la modernisation des forces armées. Dans tous ces domaines, la Russie est un partenaire stratégique important de l'OTAN, et l'OTAN demeure attachée au renforcement de ses excellentes relations avec la Russie", a-t-il indiqué.
Pour le général Hénault, les représentants de l'OTAN et de la Russie résolvent "par la voie de discussions et de pourparlers" toutes les questions controversées qui surgissent dans leur collaboration pratique. "Cette coopération nous a toujours permis de régler les problèmes les plus difficiles", a-t-il dit.
"Aujourd'hui, je suis à Moscou afin que nous puissions poursuivre le débat positif que nous menons à Bruxelles dans le cadre du Conseil OTAN-Russie. Notre objectif est de renouveler nos efforts, faire le point et trouver de nouveaux moyens d'assainir ces relations", a ajouté Raymond Hénault.
