"Pour l'instant, le gouvernement géorgien n'a encore pris aucune décision à ce sujet. Même si c'est le cas, la Russie devra entendre l'avis de l'autre partie au conflit", a indiqué le ministre.
Selon lui, "à en juger d'après l'aggravation de la situation constatée dans ces points chauds, les dirigeants géorgiens sont intéressés à un règlement non négocié (des conflits).
"Nous estimons qu'il faut respecter les accords existants", a indiqué le ministre russe de la Défense.
Cinq cents militaires russes qui se trouvent en Ossétie du Sud "travaillent comme une équipe de sapeurs pompiers, il serait donc naïf d'associer leur présence aux accrochages et aux conflits qui y ont lieu".
"Les causes (de ces accrochages) doivent être recherchées ailleurs", a ajouté Sergueï Ivanov.