"Ce n'est pas de l'information, mais de la provocation. Nombreux sont ceux qui souhaitent faire monter la tension autour du programme nucléaire iranien", a indiqué le ministre.
Vendredi, un responsable proche des négociateurs russes a annoncé, sous le couvert de l'anonymat, que la Russie pourrait arrêter la construction de la centrale nucléaire de Bouchehr en cas d'application de sanctions anti-iraniennes ou d'expulsion des inspecteurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).
"Les auteurs de ces provocations poursuivent d'autres objectifs que celui d'assurer le respect du régime de non-prolifération nucléaire qui est la mission principale de la communauté internationale", a conclu M.Lavrov.
Lancée en 1975, la construction de la centrale nucléaire de Bouchehr se déroule sous le contrôle de l'AIEA.