"Depuis que nous avons compris qu'il ne s'agissait pas seulement du Hezbollah et des règlements de comptes internes, que le Liban et la Syrie étaient directement impliqués dans cette crise qui n'a rien de passager, nous pouvons affirmer que les cours du pétrole ne baisseront pas", a-t-il déclaré dans un entretien accordée à la chaîne d'information Vesti.
Dans le même temps, a poursuivi M. Chafranik, les réserves potentielles dont disposent les pays producteurs de pétrole permettent de satisfaire la demande pour les années à venir.
Interrogé sur les prix de l'essence en Russie, le patron de l'Union russe des producteurs de pétrole a expliqué leur croissance par les décisions du gouvernement et la hausse des cours mondiaux de l'or noir. Il a estimé que si le prix de l'essence atteignait 21-22 roubles, cela provoquerait une crise économique.