Israël-Liban: Moscou propose de tenir une rencontre internationale (MAE)

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La Russie, les États-Unis, la France, l'Italie, le Liban, la Jordanie, l'Arabie Saoudite, l'Égypte, l'ONU, l'UE et la Banque Mondiale doivent tenir une rencontre internationale sur le règlement du conflit proche-oriental, a déclaré vendredi le ministère russe des Affaires étrangères.
MOSCOU, 22 juillet - RIA Novosti. La Russie, les États-Unis, la France, l'Italie, le Liban, la Jordanie, l'Arabie Saoudite, l'Égypte, l'ONU, l'UE et la Banque Mondiale doivent tenir une rencontre internationale sur le règlement du conflit proche-oriental, a déclaré vendredi le ministère russe des Affaires étrangères.

"Nous jugeons nécessaire de convoquer une rencontre de toutes les parties qui pourraient contribuer au règlement de la crise à la lumière d'une évolution dangereuse du conflit armé au Liban et compte tenu des contacts du vice-ministre russe des Affaires étrangères Alexandre Saltanov et de l'envoyé spécial du ministre pour le règlement du conflit proche-oriental Sergueï Iakovlev avec différentes parties. Il serait optimal de se retrouver au plus vite, dès la semaine prochaine, à Beyrouth", lit-on dans un communiqué de presse mis en ligne sur le site du ministère.

Dans le même temps, Moscou est prêt à prendre en considération les avis des autres partenaires en ce qui concerne les moyens de garantir la sécurité.

"Dans cette optique, une rencontre des ministres russe, américain, britannique, français, italiens, libanais, Jordanie, saoudien et égyptien des Affaires étrangères, ainsi que des représentants de l'ONU, de l'UE et de la Banque Mondiale pourrait se tenir à Rome."

Une telle rencontre doit déboucher sur l'élaboration d'un plan de mesures appelées à régler la crise et à trouver une approche universelle du règlement du conflit au Proche-Orient.

La Russie �uvre énergiquement pour faire baisser la tension au Proche-Orient, en tout premier lieu au Liban et dans les territoires palestiniens.

"Nous réalisons les idées formulées par le G8 au cours du sommet de Saint-Pétersbourg. Il devient de plus en plus évident qu'il faut agir très vite dans les conditions d'escalade de la crise pour arrêter l'effusion de sang et mettre fin aux souffrances des centaines de milliers de personnes innocentes et à la destruction de l'infrastructure civile", est-il indiqué dans le document.

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