"La population russe n'acceptera sûrement pas que nous organisions des ventes aux enchères pour les grands gisements et les cédions à des compagnies étrangères. Je pense que la situation politique intérieure ne s'y prête pas, et que la réaction des électeurs ne se fera pas attendre", a-t-il indiqué.
"D'une part, conscients de notre responsabilité devant les électeurs, nous avons des craintes et des inquiétudes. Quand nous invitons des investisseurs étrangers, nous préférons ne pas anticiper les choses, pour que la gauche ne nous accuse pas après d'avoir vendu tout le pays. D'autre part, en ouvrant l'accès aux investisseurs étrangers, nous faisons en sorte que des compagnies russes soient autorisées à investir dans des projets étrangers", a précisé Igor Chouvalov.