"La CEI se transforme, toujours dans une plus grande mesure, en un organe consultatif et politique. Ce n'est pas un mal mais, au vu de ses résultats pratiques, la CEI a perdu sa raison d'être économique", a indiqué le responsable ukrainien, commentant jeudi devant des journalistes la déclaration du président géorgien Mikhaïl Saakachvili sur l'éventuel retrait de la Géorgie de la CEI.
"Des centaines d'accords ont été signés dans le cadre de la Communauté mais ils ne sont pas mis en �uvre", a ajouté M.Kinach, citant la procédure inachevée de formation d'une zone de libre échange intracommunautaire.
Mardi 2 mai le président géorgien Mikhaïl Saakachvili avait chargé ses ministres de présenter sous 30-45 jours les arguments économiques en faveur de l'appartenance de la Géorgie à la CEI.