Ces méthodes prévoient une "surveillance agressive", fait savoir Nikolai Lozovik, secrétaire de la Commission électorale centrale. Une instruction indique qu'un observateur du bureau de vote doit être "agressif" et un autre, "tranquille". L'observateur tranquille doit observer l'élection en se trouvant à l'écart. L'observateur "agressif" doit s'ingérer dans l'activité de la commission et se conduire de façon provocante qui pourrait entraîner son expulsion du bureau de vote.
Les instructions sont éditées sous forme d'une brochure de 53 pages qui décrit les actions à entreprendre dans les situations différentes, depuis l'ouverture du bureau de vote jusqu'à la rédaction d'un acte sur les irrégularités révélées au cours de la campagne électorale.