"Le plus juste, c'est la lutte ouverte. Même si elle paraît cruelle, elle doit être ouverte", a-t-il indiqué, interrogé sur les prisons secrètes présumées de la CIA en Europe, lors d'une conférence de presse conjointe avec la chancelière allemande Angela Merkel.
"Les détenus - nous le savons par la pratique de nos services secrets -, on travaille avec eux, on se met d'accord sur quelque chose, et puis quand on leur demande ce qu'ils vont faire après, ils répondent: "on rentrera et on reprendra les armes", a indiqué Vladimir Poutine.
La chancelière allemande a pour sa part rappelé avoir abordé, lors de sa dernière visite aux États-Unis, le dossier de Guantanamo (base américaine où sont détenus des prisonniers de guerre irakiens et afghans).