"L'Ouzbékistan a adhéré au GUUAM afin de coopérer avec les pays-membres de ce groupe dans l'approfondissement des réformes de marché et pour s'intégrer mieux dans les rapports économiques internationaux. Il a, en outre, été prévu de réaliser dans le cadre du GUUAM des projets tendant à résoudre des problèmes économiques et de communication, ainsi qu'à former des corridors de transports stables", a-t-on précisé au service de presse de la diplomatie ouzbek.
Pourtant, dans ses activités, le GUUAM s'est orienté de plus en plus vers la révision de l'actuel système de sécurité dans la région, a indiqué un porte-parole du ministère des Affaires étrangères de l'Ouzbékistan.
"Vu la modification des objectifs et des tâches prioritaires, déclarés initialement dans les documents constitutifs du GUUAM, l'Ouzbékistan avait suspendu, dès juin 2002, sa participation à cette structure internationale pour s'en retirer définitivement dès avril 2005", a indiqué le service de presse.
Et d'ajouter que la Charte de Yalta, le mémorandum de compréhension mutuelle et l'accord du GUUAM ont été dénoncés par le Décret du Président de l'Ouzbékistan en date du 21 décembre dernier.