Une délégation de 15 représentants des principales entreprises russes du secteur sont attendus en Libye où ils présenteront leurs produits et services, mais aussi organiseront une table ronde.
"Nous sommes prêts à concevoir un chantier naval capable de sortir 25 à 50 chalutiers de pêche par an", a indiqué M. Venkov.
Le chantier pourrait déboucher à sa capacité prévue cinq ans après le début des travaux ou trois ans après le lancement. Les coûts de la construction représenteront jusqu'à 70 millions de dollars.
Le conseiller en chef de l'administration du président russe, Vladimir Chipilo, a qualifié de très prometteuse la coopération en matière de développement de la flotte pétrolière, la Libye étant un pays producteur de pétrole. La coopération est également possible dans la construction de vraquiers, de navires transporteurs de produits chimiques, de dispositifs de pêche et de navires de faible tonnage.
Pour l'instant, il est difficile d'évaluer la portée de la coopération, car les spécialistes russes ne sont pas au courant de toutes les possibilités et de tous les besoins de la partie libyenne, puisque même les navires de base peuvent être équipés différemment.
